The Cure
Concert |
Label :
Fiction |
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Ce premier disque live de The Cure constitue l'illustration parfaite de ce que devrait être un album de 'scène', au sens propre du terme : son brut, peu d'overdubs, une énergie incroyable et des performances d'anthologie !
Malgré un groupe peu homogène, composé de musiciens de studio dont la plupart n'ont jamais participé à de vrais albums de Cure, Concert est pourtant un des lives les plus efficaces de l'histoire du rock. Mélange de pièces anciennes sous adrénaline comme ce final "10-15..." / "Killing An Arab", d'instants de folie quasi dramatique dans l'enchaînement (A Hundred Years", "A Forest") et d'ambiances uniques ("Hanging Garden", "Give me it"), Concert est un moment rare d'honnêteté musicale.
C'est un album vif et puissant de A à Z, sans la moindre faiblesse. Même le "New Orderien The Walk" coincé entre le délire de "Give Me It" et les battements violents de "A Hundred Years", prend une dimension fabuleuse. Cet album nous a donné à l'époque la possibilité de découvrir "Charlotte Sometimes" pour la première fois sur disque, et surtout de découvrir enfin un formidable Cure de scène, qui se transcende dans "Forest" ou "Primary". Un album qui se finit dans la violence des mots et des guitares.
Malgré un groupe peu homogène, composé de musiciens de studio dont la plupart n'ont jamais participé à de vrais albums de Cure, Concert est pourtant un des lives les plus efficaces de l'histoire du rock. Mélange de pièces anciennes sous adrénaline comme ce final "10-15..." / "Killing An Arab", d'instants de folie quasi dramatique dans l'enchaînement (A Hundred Years", "A Forest") et d'ambiances uniques ("Hanging Garden", "Give me it"), Concert est un moment rare d'honnêteté musicale.
C'est un album vif et puissant de A à Z, sans la moindre faiblesse. Même le "New Orderien The Walk" coincé entre le délire de "Give Me It" et les battements violents de "A Hundred Years", prend une dimension fabuleuse. Cet album nous a donné à l'époque la possibilité de découvrir "Charlotte Sometimes" pour la première fois sur disque, et surtout de découvrir enfin un formidable Cure de scène, qui se transcende dans "Forest" ou "Primary". Un album qui se finit dans la violence des mots et des guitares.
Excellent ! 18/20 | par Stef Abou Rami |
Note du rédacteur : La version K7 contient une face B, "Curiosity", difficile à trouver aujourd'hui, avec quelques inédits en live comme "Forever" ou "All Mine".
Posté le 30 mars 2005 à 20 h 52 |
Il s'agit du premier album du groupe que l'on m'a offert au lendemain d'un concert de la tournée française de 1985 (The head on the door Tour).
Même si cet album concerne la tournée précédente, il rassemble la plupart des titres qui, paradoxalement, m'avaient le plus marquée lors de cette soirée de 1985 : "10 :15 Saturday Night", "Killing An Arab", "Charlotte Sometimes".
Ce live, dont il faut reconnaître une qualité de son médiocre, reflète tout de même parfaitement la violence de certains morceaux du groupe sur scène : "Give Me It", "One hundred years", "Shake Dog Shake". Et c'est toujours avec plaisir qu'on écoute un classique des concerts de The Cure l'exceptionnel "A Forest".
Même si cet album concerne la tournée précédente, il rassemble la plupart des titres qui, paradoxalement, m'avaient le plus marquée lors de cette soirée de 1985 : "10 :15 Saturday Night", "Killing An Arab", "Charlotte Sometimes".
Ce live, dont il faut reconnaître une qualité de son médiocre, reflète tout de même parfaitement la violence de certains morceaux du groupe sur scène : "Give Me It", "One hundred years", "Shake Dog Shake". Et c'est toujours avec plaisir qu'on écoute un classique des concerts de The Cure l'exceptionnel "A Forest".
Excellent ! 18/20
Posté le 06 février 2016 à 02 h 08 |
Ce premier album en public de The Cure est donc paru en 1985.
Pour les fans qui avaient vu la tournée "The Top" l'année précédente, l'intérêt se trouvait sur la face B de la cassette.
Cette seconde face, intitulée Curiosity (killing the cat) - cure anomalies 1977-1984 comporte dix raretés, en version démo ou enregistrées en concert entre 1977 et 1984.
"FOREVER", le dernier morceau de la face B a été enregistré à Paris, au Zénith, le 15 mai 1984 (quatre rappels, le concert se terminant par "FOREVER").
A la fin de ce morceau, Robert SMITH déclare : "You have been the noisiest audience I have ever listened to !" : "Vous avez été le public le plus bruyant que je n'ai jamais entendu !".
C'est juste : ce soir-là, au Zénith, spectateurs comme musiciens, étaient tous survoltés. Un concert houleux d'une forte houle, celui d'une forte foule, d'une foule en force...
Pour les fans qui avaient vu la tournée "The Top" l'année précédente, l'intérêt se trouvait sur la face B de la cassette.
Cette seconde face, intitulée Curiosity (killing the cat) - cure anomalies 1977-1984 comporte dix raretés, en version démo ou enregistrées en concert entre 1977 et 1984.
"FOREVER", le dernier morceau de la face B a été enregistré à Paris, au Zénith, le 15 mai 1984 (quatre rappels, le concert se terminant par "FOREVER").
A la fin de ce morceau, Robert SMITH déclare : "You have been the noisiest audience I have ever listened to !" : "Vous avez été le public le plus bruyant que je n'ai jamais entendu !".
C'est juste : ce soir-là, au Zénith, spectateurs comme musiciens, étaient tous survoltés. Un concert houleux d'une forte houle, celui d'une forte foule, d'une foule en force...
Excellent ! 18/20
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