The Cure
Staring At The Sea : The Singles |
Label :
Elektra |
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Des albums du groupe de 1979 à 1985, il y a déjà de quoi faire une bien belle compil' de titres inoubliables, et ce Staring At The Sea : The Singles est plus que satisfaisant. On trouvera difficilement autre part la preuve qu'un best of peut être utile et délectable.
Il est agréable d'y suivre l'évolution des anglais grâce à une playlist chronologique. Les titres s'enchaînent alors étonnement bien malgré des différences évidentes (cf. le passage de "The Hanging Garden" à "Let's Go To Bed"). Le fait est que tous les titres sont mémorables, les divers horizons riches et la sélection royale. Certains y verront des omissions mais avouons qu'on ne s'ennuie pas une seconde : "Killing An Arab", "10:15 Saturday Night" et "Boys Don't Cry" pour commencer, "Other Voices" et sa basse hypnotique en chemin, "In-Between Days" et "A Night Like This" en dessert. Miam !
Seul choix discutable : avoir coupé toute la longue intro aérienne de "A Forest", grand classique new-wave. Déception légèrement épongée par la version single cuivrée de "Close To Me", meilleure que la version album de The Head On The Door, et surtout la présence d'un hit qui ne figure sur aucun album : "Charlotte Sometimes". Ce titre vaut le détour du fait qu'il soit une des plus belles pièces névrosées du groupe, un fantôme de Joy Division.
A titre personnel, je dois mon intérêt pour The Cure à ce merveilleux journal de bord musical. Sa richesse pousse irrémédiablement à redécouvrir cette excellente page de leur discographie.
Il est agréable d'y suivre l'évolution des anglais grâce à une playlist chronologique. Les titres s'enchaînent alors étonnement bien malgré des différences évidentes (cf. le passage de "The Hanging Garden" à "Let's Go To Bed"). Le fait est que tous les titres sont mémorables, les divers horizons riches et la sélection royale. Certains y verront des omissions mais avouons qu'on ne s'ennuie pas une seconde : "Killing An Arab", "10:15 Saturday Night" et "Boys Don't Cry" pour commencer, "Other Voices" et sa basse hypnotique en chemin, "In-Between Days" et "A Night Like This" en dessert. Miam !
Seul choix discutable : avoir coupé toute la longue intro aérienne de "A Forest", grand classique new-wave. Déception légèrement épongée par la version single cuivrée de "Close To Me", meilleure que la version album de The Head On The Door, et surtout la présence d'un hit qui ne figure sur aucun album : "Charlotte Sometimes". Ce titre vaut le détour du fait qu'il soit une des plus belles pièces névrosées du groupe, un fantôme de Joy Division.
A titre personnel, je dois mon intérêt pour The Cure à ce merveilleux journal de bord musical. Sa richesse pousse irrémédiablement à redécouvrir cette excellente page de leur discographie.
Parfait 17/20 | par X_YoB |
Note du rédacteur : A noter que la version vinyle détient une pochette différente et se nomme Standing On A Beach.
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