Melvins
Prick |
Label :
Amphetamine Reptile |
||||
On comprend tout de suite à sa pochette que les Melvins remettent leur vice sur support audio après un Houdini gravé dans nos mémoires. L'indien était Lysol, Prick est logiquement le cavalier solitaire, son négatif.
Du coup, retour aux conneries sonores avec un fourre-tout blindé de plages sans interêt. A part l'instrumental "Larry" qui déboite, peu de titres ont des allures de morceaux ("Rickets"), lorsque ça n'est pas du n'importe quoi : il doit falloir une sérieuse dose de drogue dans le nez pour écouter "Chief Ten Beers" ou "Chalk People". Pour apprécier aussi. "Pick It n'Flick It" pourrait être une fin de morceau de 3 minutes d'un concert d'AC/DC au Stade de France.
Nous avons également droit à la prise de son lachée dans la nature urbaine revue à la baisse ("How About", "Underground" et l'éxcécrable "Punch the Lion"), du live idiot ("Montréal" et le quart d'heure collage de "Roll Another One" malgré quelques secondes trippantes). Sans oublier le summun du foutage de gueule : "Pure Digital Silence", minute-et-demie de rien du tout comme son nom l'indique, qui plus est annoncé par la voix d'un vieil homme dont la sagesse nous paraît infinie...
J'ai toujours détésté les poissons d'avril, encore plus quand on les fait au moins d'août...
Du coup, retour aux conneries sonores avec un fourre-tout blindé de plages sans interêt. A part l'instrumental "Larry" qui déboite, peu de titres ont des allures de morceaux ("Rickets"), lorsque ça n'est pas du n'importe quoi : il doit falloir une sérieuse dose de drogue dans le nez pour écouter "Chief Ten Beers" ou "Chalk People". Pour apprécier aussi. "Pick It n'Flick It" pourrait être une fin de morceau de 3 minutes d'un concert d'AC/DC au Stade de France.
Nous avons également droit à la prise de son lachée dans la nature urbaine revue à la baisse ("How About", "Underground" et l'éxcécrable "Punch the Lion"), du live idiot ("Montréal" et le quart d'heure collage de "Roll Another One" malgré quelques secondes trippantes). Sans oublier le summun du foutage de gueule : "Pure Digital Silence", minute-et-demie de rien du tout comme son nom l'indique, qui plus est annoncé par la voix d'un vieil homme dont la sagesse nous paraît infinie...
J'ai toujours détésté les poissons d'avril, encore plus quand on les fait au moins d'août...
Nul 3/20 | par X_YoB |
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