Pixies
Trompe Le Monde |
Label :
4AD |
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"Trompe Le Monde"... Dernier album des PIXIES, au titre français. Le dernier... snif
C'est aussi le titre du premier titre, excellent, et qui résume bien toutes les ambiances et les ingrédients que l'on peut trouver par la suite... Allez hop : tous les morceaux sont, sans exception, véritablement géniaux, inspirés, émouvants, imaginatifs. Un son incroyable, des émotions, de la puissance, de l'énergie, de l'espoir, du rêve, de la mélancolie, de la rage ? Du génie ? En veux-tu en voilà, yaka demander !
GRANDIOSE
C'est aussi le titre du premier titre, excellent, et qui résume bien toutes les ambiances et les ingrédients que l'on peut trouver par la suite... Allez hop : tous les morceaux sont, sans exception, véritablement géniaux, inspirés, émouvants, imaginatifs. Un son incroyable, des émotions, de la puissance, de l'énergie, de l'espoir, du rêve, de la mélancolie, de la rage ? Du génie ? En veux-tu en voilà, yaka demander !
GRANDIOSE
Exceptionnel ! ! 19/20 | par X_Shape104 |
Posté le 08 janvier 2003 à 23 h 31 |
à mes yeux (du moins, à mes oreilles), le terme "rock" a un synonyme caché: "trompe le monde". ce dernier album des pixies est un moment jouissif de rock, tout en puissance et en mélodies implaccables (comme bon nombre des mélodies des pixies, d'ailleurs). un album qui débute furieusement dès la chanson éponyme, et la furie suivra, avec, entre autres, "planet of sound", "alec eiffel", "the sad punk", "subbacultcha" et caetera. "trompe le monde" contient enfin ce joyaux qu'est "motorway to roswell".
avec intelligence, les compositions de cet album sont, pour la plupart, courtes; leur construction parait ainsi necessaire telle quelle, et absolument pas superflue..
un album à écouter fort!
avec intelligence, les compositions de cet album sont, pour la plupart, courtes; leur construction parait ainsi necessaire telle quelle, et absolument pas superflue..
un album à écouter fort!
Intemporel ! ! ! 20/20
Posté le 05 avril 2005 à 19 h 21 |
Les Pixies, à l'instar d'autres très bons groupes de rock, souffrent d'un public pas toujours légitime. La génération Fight club qui ne jure plus que par "Where Is My Mind ?"et les critiques qui occultent les 2 derniers opus du combo mythique, les jugeant inférieurs, anecdotiques. Chaque album possède un son, une ambiance qui lui est propre. Trompe Le Monde est sublime du début à la fin. Le morceau éponyme nous emporte déjà hors du réel, aux confins de l'espace. "Planet Of Sound", abrasif au possible délivre une furie monstrueuse. "Alec Eiffel", avec son final au clavier et chants cristallins nous projette daans les astres. On ne pense plus à rien. "The Sad Punk", ou l'accouplement du hardcore le plus violent avec le chant des sirènes ! "Head On", formidable reprise, qui dégage un tonus et une envie de bouger imparable. "U-Mass" et son riff minimaliste restent jouissifs ! "The Bird Dream Of The Olympus Mons" ou comment atteindre l'orgasme absolu. Tout simplement la chanson la plus planante que je connaisse, qui démontre l'aisance du groupe à instaurer une ambiance mythique en un temps limite. "Letter To Memphis", avec "Hey", probablement une des meilleures chansons d'amour du rock, jamais mièvre et énergique au possible. "Subbacultcha" et son chant de psychopate. "Motorway To Roswell"ou la révélation ! Planant, bluffant, émouvant ! Un album magnifique, un songwriting resté inégalé dans l'histoire du rock, une déclaration d'amour aux E.T., la jouissance, la rage, des compos recherchées, les claviers de Eric Drew Feldman, c'est tout ça, Trompe Le Monde, un vivier d'émotions, une catharsis, qui semblent vous être destinés uniquement. Un sommet. Merci les Pixies. Les happy few savourent...
Intemporel ! ! ! 20/20
Posté le 19 avril 2005 à 16 h 06 |
Plus je réécoute les albums des Pixies moins je suis objective. Je les trouve tous excellents.
Pourtant, je ne me souvenais plus à quel point "Trompe Le Monde" était extraordinaire. A sa sortie je l'avais moins bien apprécié ; étant encore scotchée par l'album précédent : "Bossanova". Mais là je le redécouvre et la nostalgie aidant sans doute, je trouve que cet album recèle des morceaux d'anthologie.
Ceux qui n'aiment pas les Pixies n'apprécieront pas plus cet opus que les précédents mais les autres savent à quel point ce dernier album des Pixies est puissant : une énergie folle dans les guitares, une voix incroyable, des chansons aux inspirations surnaturelles....
L'album commence avec "Trompe Le Monde" qui donne le ton, puis se mêlent des morceaux plus enragés ("Alec Eiffel", "The Sad Punk"...) , des titres plus mélodieux "The Bird Dream Of The Olympus Mons"... et des morceaux extrêmement efficaces et détonnants comme seuls les Pixies savent en faire : "Distance Equals Rate Times Time" ou encore "The Navajo Know".
Du grand Pixies !! Tant pis pour ceux qui trouveront cela surnoté !
Pourtant, je ne me souvenais plus à quel point "Trompe Le Monde" était extraordinaire. A sa sortie je l'avais moins bien apprécié ; étant encore scotchée par l'album précédent : "Bossanova". Mais là je le redécouvre et la nostalgie aidant sans doute, je trouve que cet album recèle des morceaux d'anthologie.
Ceux qui n'aiment pas les Pixies n'apprécieront pas plus cet opus que les précédents mais les autres savent à quel point ce dernier album des Pixies est puissant : une énergie folle dans les guitares, une voix incroyable, des chansons aux inspirations surnaturelles....
L'album commence avec "Trompe Le Monde" qui donne le ton, puis se mêlent des morceaux plus enragés ("Alec Eiffel", "The Sad Punk"...) , des titres plus mélodieux "The Bird Dream Of The Olympus Mons"... et des morceaux extrêmement efficaces et détonnants comme seuls les Pixies savent en faire : "Distance Equals Rate Times Time" ou encore "The Navajo Know".
Du grand Pixies !! Tant pis pour ceux qui trouveront cela surnoté !
Intemporel ! ! ! 20/20
Posté le 15 décembre 2005 à 09 h 10 |
Rahhhhhhhh ! Comment ont-ils fait ? Les Pixies s'autodétruisent en plein vol et nous laissent au passage un mo-nu-ment. Un de plus. Mais celui là est à part. Le son est d'une cohérence, d'une agressivité, d'une émotion rarement égalée dans l'histoire du rock. Dès le premier titre on est catapulté au firmament de l'inspiration, du paranormal, du rock intelligent parfait. La soucoupe volante de Bossanova carbure désormais au kérosène amélioré. Ce n'est plus un voyage, c'est une course contre le temps. Vlaouf ! On traverse ces 15 galaxies à une vitesse folle, tout en s'imprégnant au passage des sublimes textes et mélodies, avec des arrangements incroyables pour un groupe de rock, et une production qui arrache tout, absolument tout. La meilleure production des Pixies, ce son vient d'une autre planète. Inutile de détailler tous les titres, tout n'est que fureur, beauté, énergie, émotion, invention, humour, corrosion, et tout ça servit à 100 à l'heure par nos quatre échappés de l'asile musical. On n'a pas le temps de souffler, il faut le réécouter encore et encore pour tout apprécier tant cette musique est dense. Jamais entendu ça. Mention spéciale aux chansons suivantes : "Trompe Le Monde", la meilleure ouverture possible pour un tel album, "Alec Eiffel" pour son exquise mélodie finale, "Space" parce que c'est "Space" ('and now I'm gonna sing the Perry Mason theme ! lalalalala ...'), "Subbacultcha" pour son chant schizophrène de psychopathe (flippante à la première écoute), et "Motorway To Roswell" pour son décollage progressif vers le firmament mélodique. Allez, on va quand même lui trouver un ou deux points faibles : finir sur "The Navajo Knows" c'est bien, mais sur "Motorway..." c'eût été mieux à mon avis... peut être un titre qu'ils auraient du garder pour une face B même si je l'adore. Le deuxième écueil c'est la prédominance un peu trop écrasante du gros, surtout au détriment de Kim Deal (certains titres ayant été à mon avis encore meilleurs avec un peu plus de chœurs de la miss...). Mais bon, respect absolu quoi qu'il en soit. Un disque intemporel donc. SUBBACULTCHA !!!!!
Intemporel ! ! ! 20/20
Posté le 21 juillet 2008 à 15 h 09 |
Avec Doolittle, ça roulait au super. Avec Bossanova, on faisait le plein de kérosène. Trompe Le Monde décolla en septembre 1991 et les Pixies finirent par exploser en plein vol comme la navette Challenger. Ou plutôt comme la navette Discovery entrant en atmosphère lors du retour fatal. C'est que le pilote avait, paraît-il, la tête aussi grosse que le ventre. On aura beau dire ou maudire, ce petit skeud est du concentré de rock lubrifiant les neurones des plus rockophiles de la planète avec ses riffs de guitares agressifs et très fluides. On aura beau s'exclamer aujourd'hui du retour de ces 4 fantastiques de Boston, les Farfadets font désormais partie du passé, que cela plaise ou non.
Ben oui, t'auras beau picoler comme un punk triste rêvant à un phénix volant au-dessus du mont Olympus à coup de rasades d'alcool de lichen martien, t'auras beau jubiler du retour de ces quatre chevaliers du ciel autrefois flamboyants, Trompe Le Monde reste et restera l'ultime album de ces petits Êtres Gris. Il paraît que les suites de sagas sont plus que douteuses, dit-on.
Ben oui, t'auras beau picoler comme un punk triste rêvant à un phénix volant au-dessus du mont Olympus à coup de rasades d'alcool de lichen martien, t'auras beau jubiler du retour de ces quatre chevaliers du ciel autrefois flamboyants, Trompe Le Monde reste et restera l'ultime album de ces petits Êtres Gris. Il paraît que les suites de sagas sont plus que douteuses, dit-on.
Excellent ! 18/20
Posté le 15 février 2009 à 13 h 19 |
On commence à découvrir les Pixies, attiré par une force irrésistible vers Doolitle qu'on nous présente comme l'étoile la plus brillante du système solaire créé par le quatuor américain. On n'est pas déçu évidemment, sauf quand on se rend compte que "il n'y aurait que Doolitle" et que le reste ne serait pas à la hauteur. Curieux, on enfile alors son petit scaphandre tagué "Music is the Best" et on fonce sur une planète peu éclairée par la gloire, mais qui semble pourtant fort accueillante : Trompe Le Monde.
L'atmosphère y est très chaleureuse, car les morceaux s'enchaînent avec une facilité déconcertante : l'aisance d'un concert avec la qualité d'un Best-of. On rencontre des autochtones très évolué, comme ce "Sad Punk" qui gueule sa rage avec tellement de classe et de conviction qu'on s'abandonne physiquement dans sa douleur si plaisante. On en apprend plus sur la culture locale avec "U-mass" qui ridiculise tout ceux qui pensent que les Pixies avaient perdus leur énergie en 1991 alors qu'une nouvelle génération utilisait leurs anciens albums pour devenir des super stars.
La force de l'album c'est de ne pas perdre de sa ténacité dans les morceaux les plus joyeux, comme l'ouverture "Trompe le Monde" ou "Head On".
Le son est toujours saturé, les instrumentaux directs et assenés, le chant maîtrisé par la voix de Francis Black qui pourrait être celle de notre voisin et par celle, beaucoup plus rare maintenant, de Kim Gordon, qui pourrait être notre idéale.
En partant, on pensera à écouter "The Navajo Know" qui clôt jouissivement et sur une note décalée cet album mythique. On se demande alors pourquoi celui-ci est si loin de la gloire de son frère, on veut prévenir tout le monde... et puis non, le secret fait aussi très bien l'affaire.
L'atmosphère y est très chaleureuse, car les morceaux s'enchaînent avec une facilité déconcertante : l'aisance d'un concert avec la qualité d'un Best-of. On rencontre des autochtones très évolué, comme ce "Sad Punk" qui gueule sa rage avec tellement de classe et de conviction qu'on s'abandonne physiquement dans sa douleur si plaisante. On en apprend plus sur la culture locale avec "U-mass" qui ridiculise tout ceux qui pensent que les Pixies avaient perdus leur énergie en 1991 alors qu'une nouvelle génération utilisait leurs anciens albums pour devenir des super stars.
La force de l'album c'est de ne pas perdre de sa ténacité dans les morceaux les plus joyeux, comme l'ouverture "Trompe le Monde" ou "Head On".
Le son est toujours saturé, les instrumentaux directs et assenés, le chant maîtrisé par la voix de Francis Black qui pourrait être celle de notre voisin et par celle, beaucoup plus rare maintenant, de Kim Gordon, qui pourrait être notre idéale.
En partant, on pensera à écouter "The Navajo Know" qui clôt jouissivement et sur une note décalée cet album mythique. On se demande alors pourquoi celui-ci est si loin de la gloire de son frère, on veut prévenir tout le monde... et puis non, le secret fait aussi très bien l'affaire.
Exceptionnel ! ! 19/20
Posté le 26 mai 2009 à 12 h 50 |
Quelques notes à peine et nous sommes sur le départ. La batterie se réveille, la guitare s'emballe et la voix les rejoint bientôt. La musique explose en une mélodie furieuse au possible. Toute l'énergie du monde se concentre et rugit, pleine de puissance. Elle s'étend en vagues d'adrénaline, laisse l'auditeur le cul au sol, souriant béatement aux étoiles. Mais qu'il se relève, car voici que se pointent les quatorze sœurs de celle-là, toutes furibondes et chahutantes.
Alors il s'en va vers une odyssée rock, un road-trip exutoire, un voyage en un seul souffle. Chaque étape se veut plus folle, plus forte que la précédente. Elle présente un futur prometteur, que les Pixies conquérants s'en vont braver. Ils ne s'y attardent pas, mettent de côté relâche et contemplation ; mais s'embarquent sans vergogne sur de nouveaux bolides. Ils en oublient tristesse et mélancolie dans un sillage déjà lointain. Une chanson se termine à peine que déjà nous sommes portés par la suivante. Il n'y a pas de temps morts, de silence respiratoire ; mais des départs en trombe et des fins abruptes. Une aventure achevée se passe d'épilogue. Une autre débutant oublie assez vite les caresses pour se jeter sur l'orgasme.
La musique ne s'arrête jamais. L'enthousiasme, l'excitation portent chaque morceau - chaque note - plus haut que le précédent. Les chansons sont propulsées, telles les fusées du livret, à une vitesse de plus en plus folle vers un idéal mélodique, une toute puissance lyrique, un plafond aux cieux. Ils tirent le maximum de leurs machines, sans souci des conséquences. La musique accélère sans cesse, courrant vers une note plus haute, de plus en plus impatiemment. Et lorsqu'ils heurtent les étoiles, alors changent-ils de ton à une vitesse tout aussi fulgurante. L'effet est toujours impeccable : on passe à autre chose car on est à bout sur ce point là. Et quand enfin tout est dit on se croirait élevé à des hauteurs inouïes.
Les chansons s'inspirent d'à peu près toute l'énergie du rock. Elles condensent un fond de punk et de surf rock, des relents de rock vaporeux et autres excentricités - tour à tour ou bien ensemble. Elles se nourrissent de toutes ces influences et en tirent des mélodies parfaites, universellement rock & roll et hors du temps. Les notes paraissent familières, mais sont agencées à la perfection. Chacune étant absolument adéquate, la meilleure imaginable au sein du morceau. Il ne s'agit plus d'expérimentation mais de perfection. Au quatrième album, leur style est posé, et les Pixies sont là pour l'exalter.
Et ils créent un défouloir monstre et parfait, cadré comme un maître d'œuvre, simple et beau. Leur enthousiasme permanent propulse les morceaux dans des étoiles habitées, où ils brillent furieusement et déjà repartent.
Alors il s'en va vers une odyssée rock, un road-trip exutoire, un voyage en un seul souffle. Chaque étape se veut plus folle, plus forte que la précédente. Elle présente un futur prometteur, que les Pixies conquérants s'en vont braver. Ils ne s'y attardent pas, mettent de côté relâche et contemplation ; mais s'embarquent sans vergogne sur de nouveaux bolides. Ils en oublient tristesse et mélancolie dans un sillage déjà lointain. Une chanson se termine à peine que déjà nous sommes portés par la suivante. Il n'y a pas de temps morts, de silence respiratoire ; mais des départs en trombe et des fins abruptes. Une aventure achevée se passe d'épilogue. Une autre débutant oublie assez vite les caresses pour se jeter sur l'orgasme.
La musique ne s'arrête jamais. L'enthousiasme, l'excitation portent chaque morceau - chaque note - plus haut que le précédent. Les chansons sont propulsées, telles les fusées du livret, à une vitesse de plus en plus folle vers un idéal mélodique, une toute puissance lyrique, un plafond aux cieux. Ils tirent le maximum de leurs machines, sans souci des conséquences. La musique accélère sans cesse, courrant vers une note plus haute, de plus en plus impatiemment. Et lorsqu'ils heurtent les étoiles, alors changent-ils de ton à une vitesse tout aussi fulgurante. L'effet est toujours impeccable : on passe à autre chose car on est à bout sur ce point là. Et quand enfin tout est dit on se croirait élevé à des hauteurs inouïes.
Les chansons s'inspirent d'à peu près toute l'énergie du rock. Elles condensent un fond de punk et de surf rock, des relents de rock vaporeux et autres excentricités - tour à tour ou bien ensemble. Elles se nourrissent de toutes ces influences et en tirent des mélodies parfaites, universellement rock & roll et hors du temps. Les notes paraissent familières, mais sont agencées à la perfection. Chacune étant absolument adéquate, la meilleure imaginable au sein du morceau. Il ne s'agit plus d'expérimentation mais de perfection. Au quatrième album, leur style est posé, et les Pixies sont là pour l'exalter.
Et ils créent un défouloir monstre et parfait, cadré comme un maître d'œuvre, simple et beau. Leur enthousiasme permanent propulse les morceaux dans des étoiles habitées, où ils brillent furieusement et déjà repartent.
Intemporel ! ! ! 20/20
Posté le 22 novembre 2012 à 23 h 35 |
Si je m'étais mis a évaluer ce disque après ma première écoute, il y a fort à parier que ma note n'aurait pas été supérieure à 14. Sauf que c'est après plusieurs écoutes que cet album délivre tous ses secrets. Et Trompe Le Monde est une grosse claque ! Le quatrième chef-d'oeuvre des Pixies.
La patate hurlante Black Francis gueule toujours aussi bien : "Planet Of Sound", "The Sad Punk", "U-Mass". "Alex Eiffel" et "Letter To Memphis" atteignent la perfection. "Bird Dream Of The Olympus Mons" est planante a souhait. "Motorway To Roswell" est la chanson épique de l'album.
L'association black Francis / Kim Deal sur "Distance Equals Rate Times Time" est juste hallucinante ; la preuve que ce groupe est unique ! J'oublie toutes les autres : l'ouverture joussive "Trompe Le Monde", la reprise bien sentie "Head On", etc.
Ne vous fiez pas à ceux qui disent que les Pixies ont perdu leur magie à partir de Bossanova. C'est complètement faux !
La patate hurlante Black Francis gueule toujours aussi bien : "Planet Of Sound", "The Sad Punk", "U-Mass". "Alex Eiffel" et "Letter To Memphis" atteignent la perfection. "Bird Dream Of The Olympus Mons" est planante a souhait. "Motorway To Roswell" est la chanson épique de l'album.
L'association black Francis / Kim Deal sur "Distance Equals Rate Times Time" est juste hallucinante ; la preuve que ce groupe est unique ! J'oublie toutes les autres : l'ouverture joussive "Trompe Le Monde", la reprise bien sentie "Head On", etc.
Ne vous fiez pas à ceux qui disent que les Pixies ont perdu leur magie à partir de Bossanova. C'est complètement faux !
Intemporel ! ! ! 20/20
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