The Replacements
Pleased To Meet Me |
Label :
Sire |
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Finalement, The Replacements, tout comme Hüsker Dü, auront été les deux groupes "grands perdants" des années 80.
Fondé au début des eighties par son charismatique leader Paul Westerberg, le groupe des "remplaçants" (ça ne s'invente pas !) a préfiguré le son des années 90, avant d'être éclipsé par d'autres combos cultes comme les Pixies ou Sonic Youth.
Sur son album Pleased To Meet Me paru en 1987, on assiste à un rock mature et mélodique ("Alex Chilton" hommage à Big Star; "Never Mind" au style Pixiesien).
Mais il y a aussi les prémices d'un rock grunge et bâtard ("I Don't Know" et "Can't Hardly Wait" mélange de Nirvana et de sax à la Morphine).
Produit à Memphis par Jim Dickinson (cf le groupe Green On Red), contenant également son lot de guitares cinglantes, une batterie claire et cogneuse, et des ballades intemporelles (le jazzy "Nightclub Jitters") cet album aurait sans doute mérité un peu plus de reconnaissance "historique" dans le monde du rock indé.
Fondé au début des eighties par son charismatique leader Paul Westerberg, le groupe des "remplaçants" (ça ne s'invente pas !) a préfiguré le son des années 90, avant d'être éclipsé par d'autres combos cultes comme les Pixies ou Sonic Youth.
Sur son album Pleased To Meet Me paru en 1987, on assiste à un rock mature et mélodique ("Alex Chilton" hommage à Big Star; "Never Mind" au style Pixiesien).
Mais il y a aussi les prémices d'un rock grunge et bâtard ("I Don't Know" et "Can't Hardly Wait" mélange de Nirvana et de sax à la Morphine).
Produit à Memphis par Jim Dickinson (cf le groupe Green On Red), contenant également son lot de guitares cinglantes, une batterie claire et cogneuse, et des ballades intemporelles (le jazzy "Nightclub Jitters") cet album aurait sans doute mérité un peu plus de reconnaissance "historique" dans le monde du rock indé.
Excellent ! 18/20 | par Swan |
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