Radiohead
Paris [Bercy] - lundi 17 novembre 2003 |
Radiohead, tout un programme ! ... Et surtout un gros coup de coeur.
Aors pas question de manquer mon premier concert de ce groupe, même si l'idée de les voir à Bercy ne m'enchantait pas plus que ça ...
Et nous voici, mes 3 amis et moi, dans cette salle gigantesque assis sur un des derniers gradins. Cette marée humaine dégage quelque-chose d'électrique. L'atmosphère survoltée est palpable, et les lumières se meurent pour laisser place au groupe qui fait son entrée sur scène. Quelle impression ! Au bout de 2 titres, en ayant assez de me tortiller sur ma chaise, je craque et je rejoins la fosse.
"Lucky" est mon premier serrement de coeur. Le groupe semble à l'aise, et la voix de Tom Yorke est plus belle que jamais.
"Creep" : la première surprise ; la foule explose, moi avec ... Puissance est le mot qui convient le mieux.
Les titres s'enchaînent, alternant moments de folie et apaisement. Le son est puissant, à l'échelle du lieu.
La tête de Tom apparaît en gros plan sur les écrans. Il joue et se joue de nous, s'amuse de la situation, rigole. C'est sublime. Un vrai lien se tisse entre le goupe et le public.
La musique semble s'immiscer dans tout mon corps pour le faire vibrer dans tous sens. Jonny Greenwood triture sa guitare comme un damné. "There There" finit le set principal, et je suis séduit par le son des ces gros futs.
"Everything" est là pour finir de m'achever. Ma tête tourne, mon corps en redemande, et la voix torurée de Tom résonne.
Trois petits tours et puis s'en v'ont ... La pluie battante qui nous attend à la sortie, ne parvient pas à m'arracher à mes rêveries.
Un grand moment ... d'un grand groupe.
Aors pas question de manquer mon premier concert de ce groupe, même si l'idée de les voir à Bercy ne m'enchantait pas plus que ça ...
Et nous voici, mes 3 amis et moi, dans cette salle gigantesque assis sur un des derniers gradins. Cette marée humaine dégage quelque-chose d'électrique. L'atmosphère survoltée est palpable, et les lumières se meurent pour laisser place au groupe qui fait son entrée sur scène. Quelle impression ! Au bout de 2 titres, en ayant assez de me tortiller sur ma chaise, je craque et je rejoins la fosse.
"Lucky" est mon premier serrement de coeur. Le groupe semble à l'aise, et la voix de Tom Yorke est plus belle que jamais.
"Creep" : la première surprise ; la foule explose, moi avec ... Puissance est le mot qui convient le mieux.
Les titres s'enchaînent, alternant moments de folie et apaisement. Le son est puissant, à l'échelle du lieu.
La tête de Tom apparaît en gros plan sur les écrans. Il joue et se joue de nous, s'amuse de la situation, rigole. C'est sublime. Un vrai lien se tisse entre le goupe et le public.
La musique semble s'immiscer dans tout mon corps pour le faire vibrer dans tous sens. Jonny Greenwood triture sa guitare comme un damné. "There There" finit le set principal, et je suis séduit par le son des ces gros futs.
"Everything" est là pour finir de m'achever. Ma tête tourne, mon corps en redemande, et la voix torurée de Tom résonne.
Trois petits tours et puis s'en v'ont ... La pluie battante qui nous attend à la sortie, ne parvient pas à m'arracher à mes rêveries.
Un grand moment ... d'un grand groupe.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Shiboome |
Setlist :
2+2=5
Sit down, stand up
Where I end and you begin
Lucky
Backdrifts
Go to sleep
Just
Creep
Paranoid android
Sail to the moon
A punchup at a wedding
Airbag
Myxomatosis
You and whose army?
The gloaming
Idioteque
There there
>>>>>>
Fake plastic trees
The national anthem
Hunting bears
A Wolf at the door
How to disappear completely
>>>>>>
Karma police
True love waits
Everything in its right place
2+2=5
Sit down, stand up
Where I end and you begin
Lucky
Backdrifts
Go to sleep
Just
Creep
Paranoid android
Sail to the moon
A punchup at a wedding
Airbag
Myxomatosis
You and whose army?
The gloaming
Idioteque
There there
>>>>>>
Fake plastic trees
The national anthem
Hunting bears
A Wolf at the door
How to disappear completely
>>>>>>
Karma police
True love waits
Everything in its right place
Posté le 18 avril 2005 à 11 h 07 |
Premier concert de Radiohead, groupe culte, et également premier concert dans les gradins faute d'une tourista attrapé dans la file d'attente... Mais c'est un mal pour un bien car Radiohead, ça se délecte. un peu comme leurs albums qui repoussent les limites à chaque fois et nous permettent de découvrir une autre approche de la musique. Tom Yorke, petit bonhomme amusant à regarder, bavant à écouter, un sacré charisme... Principalement axé sur Hail to the thief, le concert fut pachidermique, beau, émouvant, doux, puissant. Je regrette cependant que cela se passe à Bercy...
Exceptionnel ! ! 19/20
Posté le 13 août 2005 à 16 h 20 |
Un peu d'appréhension en rejoignant Bercy pour assister au concert de Radiohead : peur d'une salle trop grande et d'une acoustique pourrie.
Pourtant, après une prestation expéditive d'Asian Dub Foundation (mais pourquoi eux en 1ère partie ?), le quintet d'Oxford débarque sur scène et le son est parfait.
Le public est en communion avec le groupe, et Thom Yorke semble plus sociable que jamais, en s'exprimant entre les morceaux, faisant des sourires et des clins d'oeil aux caméras qui diffusent le concert sur écran. Johnny Greenwood sort des sons toujours aussi invraisemblables, variant beaucoup des versions albums.
La setlist est elle aussi parfaite, mêlant les meilleurs morceaux des 6 albums du groupe. Alors que tout se termine au bout de 2 heures d'un concert transcendant, je me retrouve sous la pluie parisienne, sur un nuage, ne sachant plus où j'habite.
Radiohead dégage sur scène, à mon sens, une énergie quasi mystique.
Pourtant, après une prestation expéditive d'Asian Dub Foundation (mais pourquoi eux en 1ère partie ?), le quintet d'Oxford débarque sur scène et le son est parfait.
Le public est en communion avec le groupe, et Thom Yorke semble plus sociable que jamais, en s'exprimant entre les morceaux, faisant des sourires et des clins d'oeil aux caméras qui diffusent le concert sur écran. Johnny Greenwood sort des sons toujours aussi invraisemblables, variant beaucoup des versions albums.
La setlist est elle aussi parfaite, mêlant les meilleurs morceaux des 6 albums du groupe. Alors que tout se termine au bout de 2 heures d'un concert transcendant, je me retrouve sous la pluie parisienne, sur un nuage, ne sachant plus où j'habite.
Radiohead dégage sur scène, à mon sens, une énergie quasi mystique.
Exceptionnel ! ! 19/20
Posté le 20 septembre 2005 à 11 h 34 |
Concert de rêve, délicat, intense aussi. Le groupe est parfaitement au point et Thom Yorke nous éblouit avec son show digne d'un autiste complétement immergé dans sa vie intèrieure et se rappelant brusquement que non, il n'est pas seul, pour sur quelques secondes partager avec le public les émotions qui l'accablent, le submergent ... lui donnent matière aussi.
Vingt-cinq titres sublimes dont "Creep" joué pour la première fois depuis bien longtemps. Un patchwork grandiose issu de leurs albums, incluant pêle-mêle "Just", "Sit Down, Stand Up", "Sail To The Moon", "Myxomatosis", "True Love Waits", "Karma Police", "The National Anthem", "Airgab", "Punch Up" etc...
L'émotion et l'émerveillement gagnent l'assistance et on monte bien haut au son de ces compos cotonneuses, jonchées de plages expérimentales ou plus rock, qui se complètent en produisant un effet à la fois planant et vigoureux sur les auditeurs. Un rêve dont on a du mal à atterrir, en se disant que de plus, les Oxfordiens auraient pu facilement jouer deux fois plus de titres. Mais là, on ne se serait jamais réveillés ... ou bien le réveil aurait engendré des séquelles à la Thom Yorke.
Vingt-cinq titres sublimes dont "Creep" joué pour la première fois depuis bien longtemps. Un patchwork grandiose issu de leurs albums, incluant pêle-mêle "Just", "Sit Down, Stand Up", "Sail To The Moon", "Myxomatosis", "True Love Waits", "Karma Police", "The National Anthem", "Airgab", "Punch Up" etc...
L'émotion et l'émerveillement gagnent l'assistance et on monte bien haut au son de ces compos cotonneuses, jonchées de plages expérimentales ou plus rock, qui se complètent en produisant un effet à la fois planant et vigoureux sur les auditeurs. Un rêve dont on a du mal à atterrir, en se disant que de plus, les Oxfordiens auraient pu facilement jouer deux fois plus de titres. Mais là, on ne se serait jamais réveillés ... ou bien le réveil aurait engendré des séquelles à la Thom Yorke.
Exceptionnel ! ! 19/20
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