The Wedding Present
Valentina |
Label :
Scopitones |
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Non, déjà ?! Quatre ans déjà qu'est sorti El Rey ?! On n'a pas vu le temps passer, tant ils ont été présent, occupant la scène avec les tournées anniversaires de certains albums (George Best d'abord, Bizarro en 2010 & Seamonsters cette année).
Ils ont quand même trouvé le temps de nous sortir un nouvel album, qui arrive là, quelques jours avant le printemps.
Et quel plaisir de réentendre la voix de David Gedge ! Cette voix reconnaissable entre mille, qui nous enivre depuis 25 ans, pouvant se poser sur presque n'importe quel style, du plus pop au plus noisy. Ce qui bien sur est encore le cas avec ce Valentina, proposant des fulgurances, des morceaux imparables dignes de figurer sur Bizarro pour n'en citer qu'un ("Back A Bit...Stop", "End Credits" & ses deux batteries), et des morceaux bien plus calme, "524 Fidelio" où se mélange à la voix de David Gedge celle de Terry de Castro, qui montre encore une fois la particularité de ce groupe, où certains se contenteraient d'un peu de facilité, eux non. Ils vont vraiment chercher le petit truc qui fera de leurs chansons des classiques immédiats, reprenant certains de leurs tics jouissifs des années passées, sans pour autant en faire un album passéiste. À ce niveau là on pourrait le comparer à The Eternal de (feu?)Sonic Youth, qui prouvait qu'ils n'étaient pas morts, loin de là.
On sent que tourner en jouant leurs albums en intégralité les a bien aidé à nous offrir un disque cohérent, enregistré entre Noyant La Gravoyère (oui oui, il y a un studio dans ce bled du Maine & Loire de moins de 2000 habitants), Brighton & Los Angeles, presque construit comme un set live justement, en prévision du 20è anniversaire de Valentina sans doute... Mais n'attendons pas la majorité de cette toute jeune fille, savourons simplement sa présence, en espérant qu'il en viendra bien d'autres !
Ils ont quand même trouvé le temps de nous sortir un nouvel album, qui arrive là, quelques jours avant le printemps.
Et quel plaisir de réentendre la voix de David Gedge ! Cette voix reconnaissable entre mille, qui nous enivre depuis 25 ans, pouvant se poser sur presque n'importe quel style, du plus pop au plus noisy. Ce qui bien sur est encore le cas avec ce Valentina, proposant des fulgurances, des morceaux imparables dignes de figurer sur Bizarro pour n'en citer qu'un ("Back A Bit...Stop", "End Credits" & ses deux batteries), et des morceaux bien plus calme, "524 Fidelio" où se mélange à la voix de David Gedge celle de Terry de Castro, qui montre encore une fois la particularité de ce groupe, où certains se contenteraient d'un peu de facilité, eux non. Ils vont vraiment chercher le petit truc qui fera de leurs chansons des classiques immédiats, reprenant certains de leurs tics jouissifs des années passées, sans pour autant en faire un album passéiste. À ce niveau là on pourrait le comparer à The Eternal de (feu?)Sonic Youth, qui prouvait qu'ils n'étaient pas morts, loin de là.
On sent que tourner en jouant leurs albums en intégralité les a bien aidé à nous offrir un disque cohérent, enregistré entre Noyant La Gravoyère (oui oui, il y a un studio dans ce bled du Maine & Loire de moins de 2000 habitants), Brighton & Los Angeles, presque construit comme un set live justement, en prévision du 20è anniversaire de Valentina sans doute... Mais n'attendons pas la majorité de cette toute jeune fille, savourons simplement sa présence, en espérant qu'il en viendra bien d'autres !
Parfait 17/20 | par X_Lok |
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