Kim Gordon Quartet
Lassée de Free Kitten, Kim Gordon a monté un nouveau groupe en 2000 avec DJ Olive, Ikue Mori (ex batteuse de DNA) au power-book, ainsi que Jim O'Rourke qui travaille le son et les accompagne sur scène à la basse et au power-book. Kim Gordon pose ainsi sa voix et une guitare dissonante sur un canevas de sons électroniques et de scratches, fleurtant avec l'improvisation.
Née le 28 avril 1953 à Rochester dans l'Etat de New York, Kim Gordon est devenue en l'espace de 25 ans une figure légendaire du rock noisy indie américain, en tenant haut et fort la basse au sein de Sonic Youth.
Mais à côté de cela, elle s'est essayé à de nombreux autres rôles, la plupart du temps avec succés : elle mène ainsi son propre groupe depuis déjà plusieurs années, les Free Kitten, a produit le premier abum de Hole Pretty On The Inside en 1991. En 1994, elle dirige 2 clips vidéo pour les Breeders -dont le fameux "Cannonball"-, puis crée une ligne de vêtements en 1997, et travaille aussi sur des expos photos ou peintures, avec Sofia Coppola par exemple.
Elle publie en 2000 un des SYR avec Ikue Mori et DJ Olive à ses côtés, aidée en cela par Jim O' Rourke et Thurston Moore.
Elle s'essaie également au cinéma, et on la retrouve par exemple pour une scène hautement symbolique dans le "Last Days" de Gus Van Sant en 2005.
Née le 28 avril 1953 à Rochester dans l'Etat de New York, Kim Gordon est devenue en l'espace de 25 ans une figure légendaire du rock noisy indie américain, en tenant haut et fort la basse au sein de Sonic Youth.
Mais à côté de cela, elle s'est essayé à de nombreux autres rôles, la plupart du temps avec succés : elle mène ainsi son propre groupe depuis déjà plusieurs années, les Free Kitten, a produit le premier abum de Hole Pretty On The Inside en 1991. En 1994, elle dirige 2 clips vidéo pour les Breeders -dont le fameux "Cannonball"-, puis crée une ligne de vêtements en 1997, et travaille aussi sur des expos photos ou peintures, avec Sofia Coppola par exemple.
Elle publie en 2000 un des SYR avec Ikue Mori et DJ Olive à ses côtés, aidée en cela par Jim O' Rourke et Thurston Moore.
Elle s'essaie également au cinéma, et on la retrouve par exemple pour une scène hautement symbolique dans le "Last Days" de Gus Van Sant en 2005.
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