Pearl Jam
Merkinball |
Label :
Epic |
||||
Merkinball est née de la collaboration de Pearl Jam avec le Dieu Neil Young, sur son album Mirrorball. Si sur ce dernier, c'était Pearl Jam l'invité, ici c'est Neil Young qui viens taper le solo avec la nouvelle garde du rock brut.
Le premier titre, "I Got ID" (ou "I Got Shit" sur certain bootleg), montre un Pearl Jam mature et foutrement inspiré. Eddie Vedder joue de sa voix sur plusieurs niveaux et constituerait à lui seul le principal intérêt du morceau, s' il n'y avait ce bon vieux Neil et sa gratte. Plus qu'aucun autre, le style de Neil Young est inimitable et reconnaissable dès les premières notes. Ici, il se lâche complètement sur un solo titanesque et démoniaque, soutenu par la batterie unique de Jack Irons fraîchement introduit dans le combo de Seattle. Il n'y vas pas de main morte et c'est tout à son honneur.
Le second titre "Long Road", est quant à lui beaucoup plus calme. Longue plainte anti-peine de mort [ une version où Vedder chante en duo avec le chanteur pakistanais Nusrat Fateh Ali Khan existe sur la B.O du film "Dead Man Walking" ]. Sur celle là, Neil Young se contente de jouer de l'orgue et tisse une nappe mélancolique sur laquelle viennent se reposer les merveilleuses guitares de Stone Gossard et Mike McCready.
Décidément, cette collaboration fût fertile car Pearl Jam a été diablement inspiré sur ce morceau. Mention spéciale encore une fois à Eddie Vedder qui transporte, à lui seul, une multitude d'émotions qui touchent l'auditeur durablement et laissent dans son esprit un parfum unique de beauté et de mélancolie.
Le premier titre, "I Got ID" (ou "I Got Shit" sur certain bootleg), montre un Pearl Jam mature et foutrement inspiré. Eddie Vedder joue de sa voix sur plusieurs niveaux et constituerait à lui seul le principal intérêt du morceau, s' il n'y avait ce bon vieux Neil et sa gratte. Plus qu'aucun autre, le style de Neil Young est inimitable et reconnaissable dès les premières notes. Ici, il se lâche complètement sur un solo titanesque et démoniaque, soutenu par la batterie unique de Jack Irons fraîchement introduit dans le combo de Seattle. Il n'y vas pas de main morte et c'est tout à son honneur.
Le second titre "Long Road", est quant à lui beaucoup plus calme. Longue plainte anti-peine de mort [ une version où Vedder chante en duo avec le chanteur pakistanais Nusrat Fateh Ali Khan existe sur la B.O du film "Dead Man Walking" ]. Sur celle là, Neil Young se contente de jouer de l'orgue et tisse une nappe mélancolique sur laquelle viennent se reposer les merveilleuses guitares de Stone Gossard et Mike McCready.
Décidément, cette collaboration fût fertile car Pearl Jam a été diablement inspiré sur ce morceau. Mention spéciale encore une fois à Eddie Vedder qui transporte, à lui seul, une multitude d'émotions qui touchent l'auditeur durablement et laissent dans son esprit un parfum unique de beauté et de mélancolie.
Excellent ! 18/20 | par Max |
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