Pearl Jam
Marseille [Le Dôme] - samedi 09 septembre 2006 |
Ahlala, Pearl Jam en concert doit, normalement, réconcilier tout le monde: les boudeurs de Binaural et de Riot Act, les perplexes du nouvel album et beaucoup d'autres. Pour son premier concert à Marseille, et son premier en France depuis 6 ans (Bercy, 2000), Pearl Jam qui s'est pris un bon jour de repos dans notre cité phocéenne est en forme.
Après My Morning Jacket qui a fait le show pour la (très longue) première partie, le groupe arrive sur scène avec "Long Road". D'entrée de jeu, la voix de Vedder parcoure la salle et envoute la tout le monde, nous faisant oublier le son indissociable des guitares et le ronronnement monotonne de la basse. Le son du Dôme de Marseille est tout bonnement horrible, fidèle à son réputation de salle la plus pourrie de la région PACA.
"Why Go", "Do The Evolution", "Severed Hand", "Corduroy" enchainés à la Pixies, Pearl Jam nous gratifie d'une entrée en matière plutôt musclée.
Il faudra tout de même attendre "Even Flow" pour que le groupe se lâche un petit peu avec un McCready qui nous fait le coup du solo derrière la tête. Mais l'envolée est de courte durée, la fin du premier set est complètement assomante, au point où mes yeux se ferment après "World Wide Suicide". "Satan's Bed" et "Porch" m'emmènent dans un coma profond, où seule la sortie du groupe me fera sursauter.
Les choses changent dès le premier rappel. En 30 minutes, "Fatal", "Off He Goes", "Black", "I Believe In Miracles" et "Alive" me feront vibrer, chanter comme une groupie et pleurer. "Black" est absolument phénomenale, le public Marseillais reprenant le "Tudulutulululu" jusqu'à épuisement.
"Last Exit", "Leash", "Better Man", "Dirty Frank", "Comatose" et "Fuckin' Up" fermeront le show de 2h30.
Perplexe, moi aussi, à la sortie du Dôme en fournaise. Le groupe, contrairement à moi, est en grande forme et fait son show comme une démonstration malgré la médiocrité du son.
Ici Marseille, à vous Paris ! (?)
Après My Morning Jacket qui a fait le show pour la (très longue) première partie, le groupe arrive sur scène avec "Long Road". D'entrée de jeu, la voix de Vedder parcoure la salle et envoute la tout le monde, nous faisant oublier le son indissociable des guitares et le ronronnement monotonne de la basse. Le son du Dôme de Marseille est tout bonnement horrible, fidèle à son réputation de salle la plus pourrie de la région PACA.
"Why Go", "Do The Evolution", "Severed Hand", "Corduroy" enchainés à la Pixies, Pearl Jam nous gratifie d'une entrée en matière plutôt musclée.
Il faudra tout de même attendre "Even Flow" pour que le groupe se lâche un petit peu avec un McCready qui nous fait le coup du solo derrière la tête. Mais l'envolée est de courte durée, la fin du premier set est complètement assomante, au point où mes yeux se ferment après "World Wide Suicide". "Satan's Bed" et "Porch" m'emmènent dans un coma profond, où seule la sortie du groupe me fera sursauter.
Les choses changent dès le premier rappel. En 30 minutes, "Fatal", "Off He Goes", "Black", "I Believe In Miracles" et "Alive" me feront vibrer, chanter comme une groupie et pleurer. "Black" est absolument phénomenale, le public Marseillais reprenant le "Tudulutulululu" jusqu'à épuisement.
"Last Exit", "Leash", "Better Man", "Dirty Frank", "Comatose" et "Fuckin' Up" fermeront le show de 2h30.
Perplexe, moi aussi, à la sortie du Dôme en fournaise. Le groupe, contrairement à moi, est en grande forme et fait son show comme une démonstration malgré la médiocrité du son.
Ici Marseille, à vous Paris ! (?)
| Sympa 14/20 | par Reznor |
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