Dionysos
Evreux [L'Abordage] - samedi 01 octobre 2005 |
Baptême du feu pour les nouveaux Abordeurs en ce samedi soir !
Premier concert en les murs de cette saison 2005-2006 : la salle est (presque) bondée d'autant que l'affiche est fameuse ce soir.
Dionysos revient face à un vrai public pour leur Monsters In Love Tour. Ne connaissant absolument pas leur répertoire mais ayant eu vent de leur dynamisme en scène, c'était à ne pas rater !
Un public assez hétéroclite les attend patiemment, même si les lycéens se massent au devant de la scène pour des cris limite hystériques. D'ailleurs ce sont ces demoiselles qui ont le plus slamé pendant le set qui a duré plus d'1h45 (avec un très long rappel).
Dès l'ouverture, le public est en transe, mais finalement la sauce retombe assez vite. Les titres s'enchainent (ne me demandez pas lesquels), et l'ambiance est survoltée quand les guitares crient, mais en suspens quand le morceau est calme (on entend même les gens discuter pendant certains titres !). Bref, c'est un public jeune en attente de rock bourrin qui était plus là-bas afin de slamer et finir sur scène à côté des artistes, et leur taper une bonne vieille accolade pour faire style devant leurs potes ... Pas vraiment de respect pour le travail exceptionnel des musiciens et du chanteur qui s'époumone, dans une salle où l'accoustique est excellente. Ce dernier joue d'ailleurs le vrai chef d'orchestre face au public très réactif dès qu'il s'agit de brailler ou de sautiller !
En bref, les titres ont alterné : très calmes, très punchy, limite noisy parfois (mais toujours très bien rodés), un son génialissime, de la poésie dans les décors et les paroles, et un concert qui se termine dans une apothéose musicale avec une version mélangée du fameux "Jedi" (réclamé 100 fois par les lycéens) et de "La Coccinelle". Le public en redemande, le groupe semble aux anges de retrouver les sensations de la scène, surtout dans ce genre de petites salles... et je suis bluffée par l'énergie que Dionysos balance sur scène.
Surtout ne pas écouter leurs albums studio après ça : on ne reconnait même pas les titres ! Comme quoi, la scène apporte une dimension nouvelle.
Premier concert en les murs de cette saison 2005-2006 : la salle est (presque) bondée d'autant que l'affiche est fameuse ce soir.
Dionysos revient face à un vrai public pour leur Monsters In Love Tour. Ne connaissant absolument pas leur répertoire mais ayant eu vent de leur dynamisme en scène, c'était à ne pas rater !
Un public assez hétéroclite les attend patiemment, même si les lycéens se massent au devant de la scène pour des cris limite hystériques. D'ailleurs ce sont ces demoiselles qui ont le plus slamé pendant le set qui a duré plus d'1h45 (avec un très long rappel).
Dès l'ouverture, le public est en transe, mais finalement la sauce retombe assez vite. Les titres s'enchainent (ne me demandez pas lesquels), et l'ambiance est survoltée quand les guitares crient, mais en suspens quand le morceau est calme (on entend même les gens discuter pendant certains titres !). Bref, c'est un public jeune en attente de rock bourrin qui était plus là-bas afin de slamer et finir sur scène à côté des artistes, et leur taper une bonne vieille accolade pour faire style devant leurs potes ... Pas vraiment de respect pour le travail exceptionnel des musiciens et du chanteur qui s'époumone, dans une salle où l'accoustique est excellente. Ce dernier joue d'ailleurs le vrai chef d'orchestre face au public très réactif dès qu'il s'agit de brailler ou de sautiller !
En bref, les titres ont alterné : très calmes, très punchy, limite noisy parfois (mais toujours très bien rodés), un son génialissime, de la poésie dans les décors et les paroles, et un concert qui se termine dans une apothéose musicale avec une version mélangée du fameux "Jedi" (réclamé 100 fois par les lycéens) et de "La Coccinelle". Le public en redemande, le groupe semble aux anges de retrouver les sensations de la scène, surtout dans ce genre de petites salles... et je suis bluffée par l'énergie que Dionysos balance sur scène.
Surtout ne pas écouter leurs albums studio après ça : on ne reconnait même pas les titres ! Comme quoi, la scène apporte une dimension nouvelle.
Bon 15/20 | par Solenraja |
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