Dionysos
Nîmes [Les Arènes] - jeudi 15 juillet 2004 |
Une fois la nuit tombée sur les Arènes et sur un air de western, le groupe français Dionysos fait son apparition très classe.
Avec un décor tout simple (des fleurs-lampes en métal), des intruments variés (harmonicas, banjos, maracas et violoncelle) et une ambiance presque intimiste, les 5 musiciens mettent de suite le public à genoux.
Le lent couplet d'"I Love You" résonne dans les gradins avant que le groupe s'emballe et se déchaine.
Le petit chanteur charismatique est une vraie furie: bondissant d'un côté puis de l'autre de la scène, il grimpe aux colonnes des projecteurs, se roule par terre, hurle dans son micro... et contrôle parfaitement les 12 000 personnes du public.
Le très célèbre "Song For Jedi" est adulé, les Arènes se levant et dansant au rythme du riff de la guitare. Le groupe, ravi de l'enthousiasme du public allonge ses versions, les rend plus sauvages et permet à son chanteur de faire exploser ses envies.
"Anorak" fait remuer les fesses de tout le monde et "Don Diego 2000" rend la fosse complètement dingue.
La simplicité des paroles qui peut causer du tort à leur musique disparaît sur scène devant l'énergie impressionnante que les 5 membres du groupe sont capables de donner.
N'en ayant jamais assez, l'excentrique chanteur se jette dans la fosse... pour la traverser entièrement porté par le public !
Il arrive au fond de la fosse où toujours insatisfait, il se lance dans l'escalade des gradins, poursuivi par la sécu, tandis que le groupe entame un instru déchainé.
Quelques minutes plus tard, il arrive inerte sur scène et est porté en coulisse par son bassiste... repos de courte durée puisqu'il revient pour une reprise de Léo Ferré très électrique.
Au final: un concert électrique dont on ressort heureux, éblouis et épuisés !
Avec un décor tout simple (des fleurs-lampes en métal), des intruments variés (harmonicas, banjos, maracas et violoncelle) et une ambiance presque intimiste, les 5 musiciens mettent de suite le public à genoux.
Le lent couplet d'"I Love You" résonne dans les gradins avant que le groupe s'emballe et se déchaine.
Le petit chanteur charismatique est une vraie furie: bondissant d'un côté puis de l'autre de la scène, il grimpe aux colonnes des projecteurs, se roule par terre, hurle dans son micro... et contrôle parfaitement les 12 000 personnes du public.
Le très célèbre "Song For Jedi" est adulé, les Arènes se levant et dansant au rythme du riff de la guitare. Le groupe, ravi de l'enthousiasme du public allonge ses versions, les rend plus sauvages et permet à son chanteur de faire exploser ses envies.
"Anorak" fait remuer les fesses de tout le monde et "Don Diego 2000" rend la fosse complètement dingue.
La simplicité des paroles qui peut causer du tort à leur musique disparaît sur scène devant l'énergie impressionnante que les 5 membres du groupe sont capables de donner.
N'en ayant jamais assez, l'excentrique chanteur se jette dans la fosse... pour la traverser entièrement porté par le public !
Il arrive au fond de la fosse où toujours insatisfait, il se lance dans l'escalade des gradins, poursuivi par la sécu, tandis que le groupe entame un instru déchainé.
Quelques minutes plus tard, il arrive inerte sur scène et est porté en coulisse par son bassiste... repos de courte durée puisqu'il revient pour une reprise de Léo Ferré très électrique.
Au final: un concert électrique dont on ressort heureux, éblouis et épuisés !
Excellent ! 18/20 | par Crying bear |
Posté le 13 septembre 2004 à 11 h 47 |
Comment ne pas ressortir enchanté d'un concert de Dionysos ... Si les albums des p'tits Jedis en herbe font toujours plaisir à écouter (nombreux sont ceux qui se sont tapés un bon délire en criant "when I was a child I was a jediiiiiiii" bloqués dans un embouteillage de bon matin), Dionysos reste un groupe de scène par excellence.
D'ailleurs, on s'en rend vite compte lorsque leur matos arrive ... des fleurs/lampes un brin kitch, les Dio eux-mêmes qui installent et réglent leurs instruments ... et puis le show qui débute !
A Nîmes une fois de plus les Dionysos, à peine arrivés sur scène, cassent l'image donnée par leurs tenues ultra-classes ( mention spéciale au bassiste qui était ce soir là d'une élégance remarquable ! ), et se déchaînent comme des ptits fous ! Ca saute dans tous les sens, tout le public semble emporté par l'énergie du dieu Dionysos ....
Après un début sur les chapeaux de roues, Mathias se calme un court instant pour demander au public de faire une 'hola' pour son père, présent dans les Arênes .... Pauvre papa qui a dû bien se faire du soucis lorsque son fils casse-cou traverse les Arênes porté par la foule ...
Les Dio enchaîenent les tubes, nous font découvrir quelques nouvelles chansons ( je serai incapable de vous dresser une quelconque set list ! ), je manque de tomber des gradins, emportée par le fameux "ting ting ting ting ting ting" ( intro de "Song for Jedi" ). Bref, c'est intense et malheureusement toujours trop court ...
Le concert se termine, on se rassoit, lessivés ... mais tellement contents !
On doit encore patienter un peu avant que les 3 British déchaînés de Muse débarquent et enflamment à leur tour l'ensemble (magnifique) des Arênes. Mais il s'agit là d'une autre histoire ...
D'ailleurs, on s'en rend vite compte lorsque leur matos arrive ... des fleurs/lampes un brin kitch, les Dio eux-mêmes qui installent et réglent leurs instruments ... et puis le show qui débute !
A Nîmes une fois de plus les Dionysos, à peine arrivés sur scène, cassent l'image donnée par leurs tenues ultra-classes ( mention spéciale au bassiste qui était ce soir là d'une élégance remarquable ! ), et se déchaînent comme des ptits fous ! Ca saute dans tous les sens, tout le public semble emporté par l'énergie du dieu Dionysos ....
Après un début sur les chapeaux de roues, Mathias se calme un court instant pour demander au public de faire une 'hola' pour son père, présent dans les Arênes .... Pauvre papa qui a dû bien se faire du soucis lorsque son fils casse-cou traverse les Arênes porté par la foule ...
Les Dio enchaîenent les tubes, nous font découvrir quelques nouvelles chansons ( je serai incapable de vous dresser une quelconque set list ! ), je manque de tomber des gradins, emportée par le fameux "ting ting ting ting ting ting" ( intro de "Song for Jedi" ). Bref, c'est intense et malheureusement toujours trop court ...
Le concert se termine, on se rassoit, lessivés ... mais tellement contents !
On doit encore patienter un peu avant que les 3 British déchaînés de Muse débarquent et enflamment à leur tour l'ensemble (magnifique) des Arênes. Mais il s'agit là d'une autre histoire ...
Exceptionnel ! ! 19/20
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