Dionysos
Amiens [Lune Des Pirates] - mercredi 13 octobre 1999 |
Bon, inutile d'y aller par quatre chemins ! Ce concert, ça a été pour moi la révélation d'un talent scénique énorme, d'une énergie décoiffante et communicative, d'un don d'écriture époustouflant ... et la découverte d'un univers complètement à part, un peu barré, féerique, infantile et adulte à la fois, fait de craintes, d'échecs, de joies, de colères, de révoltes, de résignation, d'interrogations, etc ... en un mot de tout ce qui acompagne le passage d'un enfant à l'âge adulte, à l'image du livre récemment écrit par Mathias, "Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi"; mais aussi la vie de l'adulte lorsqu'il a franchi ce pas en tant qu'enfant.
Ces sentiments, ce groupe les met en musique avec une
maîtrise, une fougue, une envie de jouer que je n'avais encore jamais pu constater jusqu'alors sur la scéne de la Lune, bien que j'y ai vu d'excellents concerts.
Les vocaux de Mathias, le violon de Babeth, la rythmique puissante et débridée, les guitares furibardes dressent un mur sonique de toute beauté, font voleter autour de vous des images de votre enfance, des parcelles de bonheur, d'enchantement ... en y mêlant une certaine mélancolie, un certain désenchantement. Comment distinguer un ou des morceaux en particulier, tant ceux-ci formaient un bloc, une unité dont aucun titre ne peut à mon sens être dissocié. Mais bon, allez, j'accorderais une petite mention à "Wet", "Pyjama", "Coccinelle" évidemment, "Asshole Car Orchestra", "Sick Philarmonic Body", etc ...
Un véritable enchantement pour les personnes présentes, dansant et chantant ensemble, un large sourire éclairant les visages d'un public amiénois complètement sous le charme des valentinois et de leur inoubliable prestation.
Merci Dionysos.
Ces sentiments, ce groupe les met en musique avec une
maîtrise, une fougue, une envie de jouer que je n'avais encore jamais pu constater jusqu'alors sur la scéne de la Lune, bien que j'y ai vu d'excellents concerts.
Les vocaux de Mathias, le violon de Babeth, la rythmique puissante et débridée, les guitares furibardes dressent un mur sonique de toute beauté, font voleter autour de vous des images de votre enfance, des parcelles de bonheur, d'enchantement ... en y mêlant une certaine mélancolie, un certain désenchantement. Comment distinguer un ou des morceaux en particulier, tant ceux-ci formaient un bloc, une unité dont aucun titre ne peut à mon sens être dissocié. Mais bon, allez, j'accorderais une petite mention à "Wet", "Pyjama", "Coccinelle" évidemment, "Asshole Car Orchestra", "Sick Philarmonic Body", etc ...
Un véritable enchantement pour les personnes présentes, dansant et chantant ensemble, un large sourire éclairant les visages d'un public amiénois complètement sous le charme des valentinois et de leur inoubliable prestation.
Merci Dionysos.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Thurstonwill |
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