Pulp
Party Hard #1 |
Label :
Island |
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Party Hard est peut être le titre qui s'impose comme le plus évident pour devenir un single. Inutile de tourner autour du pot: c'est une immense réussite comme tout le reste de l'album de toute façon. This Is Hardcore est incontestablement la période la plus réussi de Pulp artistiquement parlant.
C'est donc un mélange de rock et de disco electro qui donne une chanson classable seulement dans la catégorie des inclassables. C'est surtout un titre envoûtant, dynamique qui monte en puissance durant toute la longue plage qu'il constitue. C'est aussi la chanson ou tout le potentiel vocal de Jarvis Cocker s'exprime. Sans grandiloquence, sans chercher les excentricités vocales, le résultat est sublime. Le timbre est unique, l'interprétation parfaite et surtout le chant se fusionne à merveille dans la musique.
La nouvelle version de "The Fear" n'importe pas grand chose à l'original. Toujours aussi torturé et insaisissable, on se demande parfois dans quelle dimension on évolue. Pas le temps de comprendre et on à basculé dans une nouvelle. C'est au cours de cette chanson qu'on sent le plus l'héritage de Freaks. Freaks et la folie baroque et le lyrisme de Scott Walker sont les deux arômes majeurs de la chanson.
Reste encore "We Are The Boyz", titre purement Pulpien. Production super léchée, titre racé, mélodie à se damner, chant pour rêver pour titre indispensable à écouter. Du grand art. Le genre de perle qui se glisse dans les singles et qui les rend indispensables.
C'est donc un mélange de rock et de disco electro qui donne une chanson classable seulement dans la catégorie des inclassables. C'est surtout un titre envoûtant, dynamique qui monte en puissance durant toute la longue plage qu'il constitue. C'est aussi la chanson ou tout le potentiel vocal de Jarvis Cocker s'exprime. Sans grandiloquence, sans chercher les excentricités vocales, le résultat est sublime. Le timbre est unique, l'interprétation parfaite et surtout le chant se fusionne à merveille dans la musique.
La nouvelle version de "The Fear" n'importe pas grand chose à l'original. Toujours aussi torturé et insaisissable, on se demande parfois dans quelle dimension on évolue. Pas le temps de comprendre et on à basculé dans une nouvelle. C'est au cours de cette chanson qu'on sent le plus l'héritage de Freaks. Freaks et la folie baroque et le lyrisme de Scott Walker sont les deux arômes majeurs de la chanson.
Reste encore "We Are The Boyz", titre purement Pulpien. Production super léchée, titre racé, mélodie à se damner, chant pour rêver pour titre indispensable à écouter. Du grand art. Le genre de perle qui se glisse dans les singles et qui les rend indispensables.
Très bon 16/20 | par Mozz |
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