Siouxsie & The Banshees
Nocturne |
Label :
Polygram |
||||
1983 au Royal Albert Club, Siouxsie et ses deux fantomatiques blondinets ont adopté Robert Smith le temps d'une cure de jouvence.
Dès les premières notes d'"Israël" le milieu de la salle se meut, comme une étendue d'eau formant des vagues, Steve bouge légèrement et hoche la tête pour marquer chacun de ses sons alors que Smith est stoïque et imperturbable.
La grosse chevelure blonde de Budgie s'excite derrière les toms, Siouxsie nous danse le twist et c'est parti pour "Cascade", le public toujours autant acquis.
La belle prêtresse brune nous berce avec les douces paroles de "Melt !" et son oscillante danse reptilienne. Steve Stevenin entame le riff prenant de "Pulled To Bits", les lumières sont tombées, Smith éclaircie de sa guitare folk la voix grave de Siouxsie.
Une lumière blanche sur le bas de sa robe, retour à la guitare électrique pour le lent début de "Nigth Shift" et le temps du refrain la scène s'illumine de bleu, avec toujours la grosse tignasse de Budgie ne cessant pas de battre le rythme.
Quelques notes de basse continuées par un accord aigüe de la guitare-luth de Siouxsie, Budgie frappe doucement des deux mains sur la caisse claire et de plus en plus fort, la prêtresse lance son riff en entier, le batteur déclenche ses toms et sa grosse caisse, le tout relevé par un superbe son réverbéré de Robert Smith et c'est parti pour le merveilleux "Sin My Heart".
Suivent les rituels et rythmés "Painted Bird", "Switch" et "Eve White, Eve Black".
Avec les 9 minutes de "Voodoo Dolly" c'est encore plus théâtrale, les inquiétudes de Siouxsie et les crissements de cordes de Robert Smith sur une rythmique indienne dont ils ont le secret, puis tout s'emballe interminablement... La scène passe par des feux follet de toutes les couleurs, c'est la transe avant que tout se calme pour une dernière explication de la meneuse, et du beau larsen.
Autre tube de Siouxsie and the Banshees : "Spellbound", des rayons verts, bleus et rouges quadrillent la scène alors que ça danse dans les balcons.
Fin de la cassette avec une reprise des Beatles "Helter Skelter", façon incantations indiennes et tam-tam autour d'un bon feu.
Dès les premières notes d'"Israël" le milieu de la salle se meut, comme une étendue d'eau formant des vagues, Steve bouge légèrement et hoche la tête pour marquer chacun de ses sons alors que Smith est stoïque et imperturbable.
La grosse chevelure blonde de Budgie s'excite derrière les toms, Siouxsie nous danse le twist et c'est parti pour "Cascade", le public toujours autant acquis.
La belle prêtresse brune nous berce avec les douces paroles de "Melt !" et son oscillante danse reptilienne. Steve Stevenin entame le riff prenant de "Pulled To Bits", les lumières sont tombées, Smith éclaircie de sa guitare folk la voix grave de Siouxsie.
Une lumière blanche sur le bas de sa robe, retour à la guitare électrique pour le lent début de "Nigth Shift" et le temps du refrain la scène s'illumine de bleu, avec toujours la grosse tignasse de Budgie ne cessant pas de battre le rythme.
Quelques notes de basse continuées par un accord aigüe de la guitare-luth de Siouxsie, Budgie frappe doucement des deux mains sur la caisse claire et de plus en plus fort, la prêtresse lance son riff en entier, le batteur déclenche ses toms et sa grosse caisse, le tout relevé par un superbe son réverbéré de Robert Smith et c'est parti pour le merveilleux "Sin My Heart".
Suivent les rituels et rythmés "Painted Bird", "Switch" et "Eve White, Eve Black".
Avec les 9 minutes de "Voodoo Dolly" c'est encore plus théâtrale, les inquiétudes de Siouxsie et les crissements de cordes de Robert Smith sur une rythmique indienne dont ils ont le secret, puis tout s'emballe interminablement... La scène passe par des feux follet de toutes les couleurs, c'est la transe avant que tout se calme pour une dernière explication de la meneuse, et du beau larsen.
Autre tube de Siouxsie and the Banshees : "Spellbound", des rayons verts, bleus et rouges quadrillent la scène alors que ça danse dans les balcons.
Fin de la cassette avec une reprise des Beatles "Helter Skelter", façon incantations indiennes et tam-tam autour d'un bon feu.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par IsidoreDeVinck |
Disponible en audio avec "Dear Prudence", "Paradise Place", "Slowdive" et "Happy House" en titres supplémentaires
En ligne
629 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages