Siouxsie & The Banshees
Hyaena (édition Remasterisée) |
Label :
Polydor |
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1984. Après le live Nocturne, le groupe revient avec Robert Smith aux guitares.
Une pochette colorée, aux teintes toutes à la fois chaudes (le rouge et le vert, le mauve et le jaune) et froides (le bleu et le noir), fidèle au contenu séduisant du disque.
La présence des cordes ("Dazzle") et celle de l'orgue (le fervent "Take Me Back") donne une teneur aérienne à une texture musicale plus que jamais libérée. L'expérimentation est de mise, et les codes traditionnels sont oubliés. Le tragique s'assemble au magnifique, et on côtoie régulièrement l'extase musicale ("Belladonna").
Les candélabres sont sortis ("Running Town", "We Hunger"), mais l'étiquette "gothique" ne parvient pas, à mon sens, à contenir et étouffer un tel déploiement de virtuosité.
La rythmique légendaire soutient tout un édifice envolé par le chant lumineux de Siouxsie Sioux.
Les deux bonus inédits ("Baby Piano", part 1 & 2) prolongent l'atmosphère irréelle et imaginaire de ce nouveau chapitre qui démontre toute la créativité du quatuor.
A l'instar de son prédécesseur (A Kiss In The Dreamhouse), Hyaena est un parcours riche et troublant, et l'une des pièces majeures de leur discographie.
Fabuleux.
Une pochette colorée, aux teintes toutes à la fois chaudes (le rouge et le vert, le mauve et le jaune) et froides (le bleu et le noir), fidèle au contenu séduisant du disque.
La présence des cordes ("Dazzle") et celle de l'orgue (le fervent "Take Me Back") donne une teneur aérienne à une texture musicale plus que jamais libérée. L'expérimentation est de mise, et les codes traditionnels sont oubliés. Le tragique s'assemble au magnifique, et on côtoie régulièrement l'extase musicale ("Belladonna").
Les candélabres sont sortis ("Running Town", "We Hunger"), mais l'étiquette "gothique" ne parvient pas, à mon sens, à contenir et étouffer un tel déploiement de virtuosité.
La rythmique légendaire soutient tout un édifice envolé par le chant lumineux de Siouxsie Sioux.
Les deux bonus inédits ("Baby Piano", part 1 & 2) prolongent l'atmosphère irréelle et imaginaire de ce nouveau chapitre qui démontre toute la créativité du quatuor.
A l'instar de son prédécesseur (A Kiss In The Dreamhouse), Hyaena est un parcours riche et troublant, et l'une des pièces majeures de leur discographie.
Fabuleux.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Abitibi |
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