Andrew Bird
Belfort [Les Eurockéennes / La Loggia] - dimanche 03 juillet 2005 |
Arrivé à la Loggia des Eurocks, on peut distinguer un jeune homme tester le son de son violon, de sa guitare et de son petit vibraphone. Andrew Bird n'a pas besoin de roadies, mais tout au plus d'un batteur pour l'accompagner.
Après s'être déchaussé et joué une introduction en pizzicati assez expérimentale, le songwriter américain se lance dans un "Sovay" méconnaissable et époustouflant. Habité. L'artiste montre dès le début l'ampleur de sa voix, fantastique ! A cet instant, le public est déjà conquis devant cet hurluberlu qui sifflote, jongle entre violon et guitare, tapote son vibraphone, gratte toutes les cordes qui sont à sa portée, chante de tout son coeur d'une voix qui, certes n'égale pas celle de feu Jeff Buckley, mais rappelle irrésistiblement ce dernier.
Les ballades à cordes frottées se succèdent pendant tout le concert, aux transitions psychédéliques et aux chansons pop mélodiques.
Pendant un peu plus d'une heure, Andrew Bird survole son dernier album, parfois à l'instar du public. Les versions live des compositions de son dernier opus sont totalement différentes des enregistrements studios. Là où se jouent quelques arpèges de guitare, débarquent un violon survolté couvert d'une superbe tension electrique et d'une batterie magistralemernt discrète.
A l'annonce de son dernier morceau ["une chanson sur l'apocalypse ..."], des réactions de surprises se font entendre dans une grande partie du public. L'envoûtement aura été de trop courte durée, malgré un rappel de deux morceaux.
On aura beau dire, Andrew Bird a efféctue un véritable tour de force sur scène.
Après s'être déchaussé et joué une introduction en pizzicati assez expérimentale, le songwriter américain se lance dans un "Sovay" méconnaissable et époustouflant. Habité. L'artiste montre dès le début l'ampleur de sa voix, fantastique ! A cet instant, le public est déjà conquis devant cet hurluberlu qui sifflote, jongle entre violon et guitare, tapote son vibraphone, gratte toutes les cordes qui sont à sa portée, chante de tout son coeur d'une voix qui, certes n'égale pas celle de feu Jeff Buckley, mais rappelle irrésistiblement ce dernier.
Les ballades à cordes frottées se succèdent pendant tout le concert, aux transitions psychédéliques et aux chansons pop mélodiques.
Pendant un peu plus d'une heure, Andrew Bird survole son dernier album, parfois à l'instar du public. Les versions live des compositions de son dernier opus sont totalement différentes des enregistrements studios. Là où se jouent quelques arpèges de guitare, débarquent un violon survolté couvert d'une superbe tension electrique et d'une batterie magistralemernt discrète.
A l'annonce de son dernier morceau ["une chanson sur l'apocalypse ..."], des réactions de surprises se font entendre dans une grande partie du public. L'envoûtement aura été de trop courte durée, malgré un rappel de deux morceaux.
On aura beau dire, Andrew Bird a efféctue un véritable tour de force sur scène.
Parfait 17/20 | par Runnawayflk |
Note du rédacteur :
15 dates françaises sont prévues à partir de septembre 2005 ... Courrez !
15 dates françaises sont prévues à partir de septembre 2005 ... Courrez !
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