The Besnard Lakes
A Coliseum Complex Museum |
Label :
Jagjaguwar |
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C'est déjà le cinquième album pour les Besnard Lakes. Et le quatrième d'affilée que j'écoute en boucle avec plaisir.
La nouveauté est dans le line-up du groupe : Sheenah Ko aux claviers et Robbie MacArthur à la guitare apparaissent sur un album du groupe pour la première fois depuis leur arrivée en 2014.
Parce que du côté du contenu, on est dans la droite ligne des précédents. Même le Digipack 3 volets en carton retourné est du même modèle que ceux des deux précédents albums ! Et pour ce qui est de la musique, toujours ces morceaux majestueux, ces voix aériennes et ces sons shoegaze/psyché envoûtants. La production est toujours impeccable, Jace Lasek l'ingé son-guitariste-chanteur maîtrisant bien son sujet. Le son est un peu plus Pink Floyd et un peu moins My Bloody Valentine que sur les deux précédents, mais c'est de l'ordre de la nuance.
Alors quel intérêt ? Des nouveaux morceaux, et des bons. Le tube d'abord, "Golden Lion", sorti sur un EP quelques semaines avant l'album, avec sa ligne de basse "Billie Jean au ralenti" (© Climbatize pour l'expression). "The Plain Moon", ensuite, avec ses faux airs de "Station to Station" peace and love et ses flashs de guitare psyché. Et puis ce final : "Tungsten 4 : the Refugee". Six minutes d'extase ponctuées par un duel de guitares pas très éloigné de celui du Marquee Moon de Television. Alors bien sûr, tout n'est pas au même niveau sur cet album, mais le bilan reste très bon pour nos artisans-joailliers canadiens préférés.
La nouveauté est dans le line-up du groupe : Sheenah Ko aux claviers et Robbie MacArthur à la guitare apparaissent sur un album du groupe pour la première fois depuis leur arrivée en 2014.
Parce que du côté du contenu, on est dans la droite ligne des précédents. Même le Digipack 3 volets en carton retourné est du même modèle que ceux des deux précédents albums ! Et pour ce qui est de la musique, toujours ces morceaux majestueux, ces voix aériennes et ces sons shoegaze/psyché envoûtants. La production est toujours impeccable, Jace Lasek l'ingé son-guitariste-chanteur maîtrisant bien son sujet. Le son est un peu plus Pink Floyd et un peu moins My Bloody Valentine que sur les deux précédents, mais c'est de l'ordre de la nuance.
Alors quel intérêt ? Des nouveaux morceaux, et des bons. Le tube d'abord, "Golden Lion", sorti sur un EP quelques semaines avant l'album, avec sa ligne de basse "Billie Jean au ralenti" (© Climbatize pour l'expression). "The Plain Moon", ensuite, avec ses faux airs de "Station to Station" peace and love et ses flashs de guitare psyché. Et puis ce final : "Tungsten 4 : the Refugee". Six minutes d'extase ponctuées par un duel de guitares pas très éloigné de celui du Marquee Moon de Television. Alors bien sûr, tout n'est pas au même niveau sur cet album, mais le bilan reste très bon pour nos artisans-joailliers canadiens préférés.
Très bon 16/20 | par Myfriendgoo |
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