The Besnard Lakes
The Besnard Lakes Are The Roaring Night |
Label :
Jagjaguwar |
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Tous les dix ans. Ca se tiendrait presque si on se tenait à des années butoires. La date de péremption serait largement dépassée pour Loveless (1991). Agaetis Byrjun (2000) serait resté oublié on ne sait où, de crainte de subir un ennui interminable après des extases glaciaires. On enjambe le Groënland pour atterrir chez les cousins d'outre atlantique. Un groupe de babas cools shoegazeurs formé par un couple exilé de l'ouest canadien commencerait à faire plus peu à peu parler de lui à l'émergence d'un troisième album, The Besnard Lakes Are The Roaring Night.
Par voie de presse seraient mentionnées les influences comme My Bloody Valentine et les Beach Boys qui se croisent dans cet album. Le meilleur exemple est "Albatross", morceau classieux dont on a du mal personnellement à s'en détacher pour écouter le reste habillé de reverb de guitares préapocalyptiques, choeurs rappelant aussi ceux du Alan Parsons Project, quelques sections de cuivres, de quelques autres cordes, de 'french horns'... Le chant d'Olga Goreas se rapproche parfois à celui de Bilinda Butcher entendue deux décennies en arrière... Des composants utilisés pour et qui font de ce disque une sorte de récit où tout (pochette aidante) sonne en un ensemble hanté d'échos, de nuits, de brumes, de brises spectrales et de flammes, qui peut amener aussi à une lassitude en dehors de deux ou trois titres nettement plus appréciés que d'autres.
Par voie de presse seraient mentionnées les influences comme My Bloody Valentine et les Beach Boys qui se croisent dans cet album. Le meilleur exemple est "Albatross", morceau classieux dont on a du mal personnellement à s'en détacher pour écouter le reste habillé de reverb de guitares préapocalyptiques, choeurs rappelant aussi ceux du Alan Parsons Project, quelques sections de cuivres, de quelques autres cordes, de 'french horns'... Le chant d'Olga Goreas se rapproche parfois à celui de Bilinda Butcher entendue deux décennies en arrière... Des composants utilisés pour et qui font de ce disque une sorte de récit où tout (pochette aidante) sonne en un ensemble hanté d'échos, de nuits, de brumes, de brises spectrales et de flammes, qui peut amener aussi à une lassitude en dehors de deux ou trois titres nettement plus appréciés que d'autres.
Bon 15/20 | par Pascha |
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