Ty Segall
Lemons |
Label :
Goner |
||||
26 minutes. 12 titres.
12 titres dans lesquels Ty & ses compères nous déversent ce rock tellement crade, tellement garage, qu'il rend forcément addict dès la première écoute.
La facilité n'enlève rien à l'énergie, avec cette satanée science de la mélodie imparable, cette rythmique qui ferait taper du pied à un myopathe (n'est ce pas Etienne ?).
"Johnny", "Can't Talk", des purs moments de bonheur, des micro capsules de moins de 2 minutes, une reprise du Captain Beefheart pour compléter l'affaire, et vous avez là un des disques les mieux troussés de 2009, dans le genre accessible, facile, qui plairait au plus grand nombre, sans tomber dans le mainstream...
Quelques instrumentaux de-ci de-là, des petites fleurs fêlées ("Rusted Dust"), mais c'est vraiment cette énergie, ce son qui parfois (allez-y, jetez moi la pierre) me fait penser à Nirvana (l'intro de "Die Tonight" par exemple), forcément, en live, un blondinet avec des cheveux dans la gueule, qui tabasse sa guitare...
Si Kurt avait été insouciant & heureux, il s'appellerait Ty Segall.
Mais faut pas déconner, c'est juste un p'tit mec qui s'est gavé de rock et roll, comme vous, comme nous, comme lui.
C'est déjà fini... Mais vu la productivité du type, il y a tellement d'autres titres à se mettre sous la dent.
12 titres dans lesquels Ty & ses compères nous déversent ce rock tellement crade, tellement garage, qu'il rend forcément addict dès la première écoute.
La facilité n'enlève rien à l'énergie, avec cette satanée science de la mélodie imparable, cette rythmique qui ferait taper du pied à un myopathe (n'est ce pas Etienne ?).
"Johnny", "Can't Talk", des purs moments de bonheur, des micro capsules de moins de 2 minutes, une reprise du Captain Beefheart pour compléter l'affaire, et vous avez là un des disques les mieux troussés de 2009, dans le genre accessible, facile, qui plairait au plus grand nombre, sans tomber dans le mainstream...
Quelques instrumentaux de-ci de-là, des petites fleurs fêlées ("Rusted Dust"), mais c'est vraiment cette énergie, ce son qui parfois (allez-y, jetez moi la pierre) me fait penser à Nirvana (l'intro de "Die Tonight" par exemple), forcément, en live, un blondinet avec des cheveux dans la gueule, qui tabasse sa guitare...
Si Kurt avait été insouciant & heureux, il s'appellerait Ty Segall.
Mais faut pas déconner, c'est juste un p'tit mec qui s'est gavé de rock et roll, comme vous, comme nous, comme lui.
C'est déjà fini... Mais vu la productivité du type, il y a tellement d'autres titres à se mettre sous la dent.
Très bon 16/20 | par X_Lok |
En écoute : https://tysegall.bandcamp.com/album/lemons
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