Buzzcocks
Buzzcocks |
Label :
Cherry Red |
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Vous avez toujours eu des réticences à suivre les Buzzcocks après leur re-formation ou bien vous avez toujours regretté le "génie" de leur trois premiers albums ? En regrettant de ne pas pouvoir remonter le temps pour connaître cette sensation en directe ? Alors rassurez-vous, la machine à remonter le temps chez les Buzzcocks est matérialisée par cet album.
En effet, des titres, entre autres, comme "Sick City Sometimes", "Jerk", "Wake Up Call" ou "Lester Sands" (co-écrit avec Howard Devoto à la grande époque et uniquement disponible en version démo sur Time 's Up jusqu'à présent) nous ramène en arrière, à l' "excellence" du groupe. Excellence ou chaque titres faisaient mouche, avec ce mélange, de colère, de frustration et de mélodies imparables. Bon, Diggle et Shelley ont vieillis (vous aussi !) mais on peut compter sur Tony Harper le bassiste (qui doit être un vieux fan du groupe depuis toujours) pour maintenir la flamme et la qualité !
Et c'est vrai qu'après le ratage de Modern le précédent, et les semi-ratages de Trade Test Transmission, l'album du retour ou de All Set, deux albums appréciables mais pas à la hauteur du groupe, on avait besoin d'un Buzzcocks de cette trempe ! Là, on est content, l'album nous rassure sur le fait d'avoir tenu bon, d'avoir eu confiance en ce groupe, de ne pas avoir répondu aux sirènes du modernisme, de la branchitude ou de je ne sais quoi encore. A écouter en boucle, en se disant que cette fois ça y est, ça se passe aujourd'hui et on en est le témoin.
Un album de plus à faire écouter à vos petits-enfants...
En effet, des titres, entre autres, comme "Sick City Sometimes", "Jerk", "Wake Up Call" ou "Lester Sands" (co-écrit avec Howard Devoto à la grande époque et uniquement disponible en version démo sur Time 's Up jusqu'à présent) nous ramène en arrière, à l' "excellence" du groupe. Excellence ou chaque titres faisaient mouche, avec ce mélange, de colère, de frustration et de mélodies imparables. Bon, Diggle et Shelley ont vieillis (vous aussi !) mais on peut compter sur Tony Harper le bassiste (qui doit être un vieux fan du groupe depuis toujours) pour maintenir la flamme et la qualité !
Et c'est vrai qu'après le ratage de Modern le précédent, et les semi-ratages de Trade Test Transmission, l'album du retour ou de All Set, deux albums appréciables mais pas à la hauteur du groupe, on avait besoin d'un Buzzcocks de cette trempe ! Là, on est content, l'album nous rassure sur le fait d'avoir tenu bon, d'avoir eu confiance en ce groupe, de ne pas avoir répondu aux sirènes du modernisme, de la branchitude ou de je ne sais quoi encore. A écouter en boucle, en se disant que cette fois ça y est, ça se passe aujourd'hui et on en est le témoin.
Un album de plus à faire écouter à vos petits-enfants...
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Papadelisa |
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