Buzzcocks
French |
Label :
Snapper |
||||
Damned ! Si les re-formations paraissent souvent ridicules ou argumentées uniquement par le dieu pognon, les Buzzcocks se font fort de démentir ce fait. Ce live enregistré en 1995 à l'Arapaho à Paris, époque donc où le groupe se re-forme avec seulement deux membres originaux, nous démontre que le punk-rock pop du groupe de Manchester est absolument éternel ! Ici sont mélangés les standards et les nouveaux titres sans que cela paraissent malvenus. Même si l'album de la reformation Trade Test Transmissions pouvait en laisser plus d'un sceptique, ce live devait finir de les convaincre du bien fondé du retour aux affaires pour le groupe !! En effet, les nouveaux titres comme "Energy", "Last To Know" ou le tube "Who Help Me To Forget ?" couplés aux fabuleux "Breakdown" ou "Harmony In My Head" entre autres, semblent tout droit sorti du même tiroir à pop songs intemporelles tissées par le groupe depuis ses débuts. 23 titres joués comme aux premiers jours, le genre de truc qui vous colle un sourire idiot en pleine face...
Tony Barber, le nouveau bassiste qui semble "coacher" Shelley et Diggle possède un jeu de basse idéal pour les compos du duo et le batteur n'est pas en reste non plus d'ailleurs ! Je les ai vus à cette époque (bénie !) moi qui les avais toujours ratés auparavant, car un poil jeune à l'époque de leur triomphalisme punk, je me suis pris la plus grosse claque sonore de ma jeune existence !!
Comment bien vieillir en restant punk rocker ? La réponse est dans ce live. Le son y est correct, les morceaux bien enchaînés (pas comme sur les premiers live où chaque morceau était systématiquement présenté au public, ce qui avait tendance à tuer l'énergie !!) Le live se termine avec le brulot punk rock "Fast Cars", le genre de truc qui donne envie d'appuyer sur "repeat" pour prolonger le plaisir...
Depuis, chaque nouvel album nous a démontré que les Buzzcocks savaient tenir le cap face à la nouvelle vague punk rock (FM ou pas).
Tony Barber, le nouveau bassiste qui semble "coacher" Shelley et Diggle possède un jeu de basse idéal pour les compos du duo et le batteur n'est pas en reste non plus d'ailleurs ! Je les ai vus à cette époque (bénie !) moi qui les avais toujours ratés auparavant, car un poil jeune à l'époque de leur triomphalisme punk, je me suis pris la plus grosse claque sonore de ma jeune existence !!
Comment bien vieillir en restant punk rocker ? La réponse est dans ce live. Le son y est correct, les morceaux bien enchaînés (pas comme sur les premiers live où chaque morceau était systématiquement présenté au public, ce qui avait tendance à tuer l'énergie !!) Le live se termine avec le brulot punk rock "Fast Cars", le genre de truc qui donne envie d'appuyer sur "repeat" pour prolonger le plaisir...
Depuis, chaque nouvel album nous a démontré que les Buzzcocks savaient tenir le cap face à la nouvelle vague punk rock (FM ou pas).
Parfait 17/20 | par Papadelisa |
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