Beck
Berlin - Allemagne [Huxley's Neue Welt] - mardi 14 juin 2005 |
Sortant du concert Berlinois de Farin Urlaub (chanteur Allemand à éviter), il m'est donné un flyer pour un concert de Beck deux semaines plus tard.
Et voilà que, ne connaissant pourtant qu'au maximum 5 chansons du Californien, je me retrouve à ce concert, dans la très belle salle (murs style renaissance) d' Huxley's Neue Welt.
Je fais tâche dans le public composé à 99% de jeunes adultes (20-30 ans), car à 16ans, très peu d'allemands connaissent Beck.
Brendan Benson entre en scène à 20h30 pour 30 minutes d'un show bien rodé. Son physique ressemble étrangement à celui du rouquin qui va suivre, et sa voix rappelle celle de Jude. Brendan me fait sourire de contentement tout au long de sa prestation, en nous offrant un folk rock entraînant. Lui et ses hommes prennent leur pied, ça fait vraiment plaisir ! La meilleur chanson du gosse de Détroit est celle qu'il nous chante seul avec sa guitare éléctro-accoustique.
Mais comme la plupart des gens, je suis venu parce que le nom de Beck figurait sur l'affiche !
Et Beck et sa troupe arrivent, 5 musiciens déjantés, un DJ en retrait et un Beck fringué comme un scout psychédélique. Une première série de titres, mélangeant allègrement le hip-hop, le folk, et le rock pur et dur. Les musiciens s'éclatent, un d'eux passe son temps à sauter, gesticuler, en jouant du tambourin, il me met une pêche d'enfer. Puis vient "Loser" et le public s'enflamme ; "Sex Laws" tombe directement après, c'est la folie, ça bouge dans tous les sens, on en veut plus !
Fiou, petite pause pour le physique, car Beck sort sa guitare accoustique tandis que ses musiciens prennent leur dîner. Une table très joliement garnie leur est amenée sur scène, et Beck enchaîne ses titres plus doux, en parfaite communion avec le public. Mais les percussionistes qui l' accompagnent ne comptent pas se laisser oublier. On a le droit à une partie de percussions sur vaisselle. Splendide.
On débarrasse, et Beck reprend la guitare électrique. Une série de titres que clôt un "E-Pro" survolté, et la horde sort de scène en courant.
Hop, retour sur scène, affublés de combinaisons phosphorescentes et de casques de martien, ces fous furieux nous jouent "Where It's At" et se tirent tellement vite que personne n'a le temps de réaliser que le concert est terminé. 1h30 et un goût de trop peu.
Whouaw, Beck un artiste déjanté comme je les aime, il faut que j'approfondisse !
Après ce très bon concert, les membres tous tremblotant, la gorge en feu, je n'ai pas pu m'empêcher d'aller me boire une Beck's.
Et voilà que, ne connaissant pourtant qu'au maximum 5 chansons du Californien, je me retrouve à ce concert, dans la très belle salle (murs style renaissance) d' Huxley's Neue Welt.
Je fais tâche dans le public composé à 99% de jeunes adultes (20-30 ans), car à 16ans, très peu d'allemands connaissent Beck.
Brendan Benson entre en scène à 20h30 pour 30 minutes d'un show bien rodé. Son physique ressemble étrangement à celui du rouquin qui va suivre, et sa voix rappelle celle de Jude. Brendan me fait sourire de contentement tout au long de sa prestation, en nous offrant un folk rock entraînant. Lui et ses hommes prennent leur pied, ça fait vraiment plaisir ! La meilleur chanson du gosse de Détroit est celle qu'il nous chante seul avec sa guitare éléctro-accoustique.
Mais comme la plupart des gens, je suis venu parce que le nom de Beck figurait sur l'affiche !
Et Beck et sa troupe arrivent, 5 musiciens déjantés, un DJ en retrait et un Beck fringué comme un scout psychédélique. Une première série de titres, mélangeant allègrement le hip-hop, le folk, et le rock pur et dur. Les musiciens s'éclatent, un d'eux passe son temps à sauter, gesticuler, en jouant du tambourin, il me met une pêche d'enfer. Puis vient "Loser" et le public s'enflamme ; "Sex Laws" tombe directement après, c'est la folie, ça bouge dans tous les sens, on en veut plus !
Fiou, petite pause pour le physique, car Beck sort sa guitare accoustique tandis que ses musiciens prennent leur dîner. Une table très joliement garnie leur est amenée sur scène, et Beck enchaîne ses titres plus doux, en parfaite communion avec le public. Mais les percussionistes qui l' accompagnent ne comptent pas se laisser oublier. On a le droit à une partie de percussions sur vaisselle. Splendide.
On débarrasse, et Beck reprend la guitare électrique. Une série de titres que clôt un "E-Pro" survolté, et la horde sort de scène en courant.
Hop, retour sur scène, affublés de combinaisons phosphorescentes et de casques de martien, ces fous furieux nous jouent "Where It's At" et se tirent tellement vite que personne n'a le temps de réaliser que le concert est terminé. 1h30 et un goût de trop peu.
Whouaw, Beck un artiste déjanté comme je les aime, il faut que j'approfondisse !
Après ce très bon concert, les membres tous tremblotant, la gorge en feu, je n'ai pas pu m'empêcher d'aller me boire une Beck's.
Parfait 17/20 | par MeL |
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