Isis
Poitiers [Le Confort Moderne] - samedi 28 mai 2005 |
Jouer après Dälek, le groupe hip hop le plus violent et le plus noisy qui m'ait été donné de voir et Jesu, nouveau groupe de Justin Broadrick (Godflesh, Techno Animal) n'est pas chose aisée.
Mais Isis va mettre tout le monde d'accord.
Le groupe, du début jusqu'à la fin, transporte complètement. Ici les compositions sont lourdes et longues mais très épurées, les morceaux respirent, tout déroule d'une façon naturelle.
Souvent comparé à Neurosis, le concert ne tombera jamais dans le glauque .
Le rappel aura peut-être été de trop, mais ce soir c'était un grand concert !
Mais Isis va mettre tout le monde d'accord.
Le groupe, du début jusqu'à la fin, transporte complètement. Ici les compositions sont lourdes et longues mais très épurées, les morceaux respirent, tout déroule d'une façon naturelle.
Souvent comparé à Neurosis, le concert ne tombera jamais dans le glauque .
Le rappel aura peut-être été de trop, mais ce soir c'était un grand concert !
Très bon 16/20 | par Teethgrinder |
Posté le 30 mai 2005 à 21 h 29 |
Transporté, j'ai été transporté. Et la salle entière avec moi.
Isis a joué principalement les morceaux de "Panopticon", et ce pour mon plus grand bonheur : basses hypnotiques, violence progressive et maîtrisée, puissance et lourdeur terrassantes.
Après le show Dälek, la claustrophobie Jesu, Isis a montré pourquoi ils étaient la tête d'affiche, pourquoi c'est un groupe extrêmement important dans le métal actuel, et pourquoi c'est un des rares groupes à pouvoir être comparé à Tool.
En live, les compositions prennent encore plus de vie, d'émotions, la basse ressort (vous l'aurez compris, j'ai été subjugué par le jeu du bassiste) et fascine ... Surtout, devant nous, s'est produit UN Groupe. Pas un musicien qui sort du lot pour se mettre en avant de façon incongrue. Le groupe est là pour servir ses compositions. Et le fait parfaitement.
En live, les morceaux s'allongent pour partir dans de longues mélopées magiques.
Et le groupe, pas avare qui plus est, répond au rappel sans rechigner ... Pour un morceau, un, mais qu'Aaron Turner et ses comparses vont approcher de l'infini.
Isis a joué principalement les morceaux de "Panopticon", et ce pour mon plus grand bonheur : basses hypnotiques, violence progressive et maîtrisée, puissance et lourdeur terrassantes.
Après le show Dälek, la claustrophobie Jesu, Isis a montré pourquoi ils étaient la tête d'affiche, pourquoi c'est un groupe extrêmement important dans le métal actuel, et pourquoi c'est un des rares groupes à pouvoir être comparé à Tool.
En live, les compositions prennent encore plus de vie, d'émotions, la basse ressort (vous l'aurez compris, j'ai été subjugué par le jeu du bassiste) et fascine ... Surtout, devant nous, s'est produit UN Groupe. Pas un musicien qui sort du lot pour se mettre en avant de façon incongrue. Le groupe est là pour servir ses compositions. Et le fait parfaitement.
En live, les morceaux s'allongent pour partir dans de longues mélopées magiques.
Et le groupe, pas avare qui plus est, répond au rappel sans rechigner ... Pour un morceau, un, mais qu'Aaron Turner et ses comparses vont approcher de l'infini.
Parfait 17/20
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