Agathocles
Morally Wrong / Grind ‘Till Deafness |
Label :
Putrefaction |
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J'aime les splits. Les splits sales de préférence, jaune devant et marron derrière comme dit l'autre. Et quand j'ai envie d'un bon caca mielleux, ce n'est pas vers l'Angleterre ou la Suède que je me tourne mais plutôt vers la Belgique ou l'Asie tellement amatrice de bondage.
Mais aujourd'hui, je bouffe des moules et c'est Agathocles qui régale. Bon, avec seulement trois titres des monstres belges, c'est un peu maigre, on reste sur sa faim. Pourtant, c'est gras ! Je ne vais pas refaire une énième description de leur style, juste préciser que "Solitary Minded", "Judged by apperrance" et "Well of happiness" sont parfaitement fidèles à ce qu'on attend d'eux d'habitude. Par le pouvoir du grind ancestral !
Là où ce Morally Wrong / Grind ‘Till Deafness est en revanche une pure réussite, c'est dans la découverte des vrais malades que sont les Havrais de Violent Noise Attack (V.N.A.) qui nous offrent quatorze morceaux dans la plus pure tradition, c'est-à-dire : son crado, vocaux vomis, pied au plancher pendant une dizaine de secondes, violence hystérique, bref, leur patronyme tient absolument toutes ses enchanteresses promesses.
Rien à dire sur ce split nauséabond, si ce n'est que son odeur s'incruste bien profond dans vos fosses nasales, et ce durablement. Une pièce de choix dans ce gros animal à l'œil vitreux qu'est l'underground.
Mais aujourd'hui, je bouffe des moules et c'est Agathocles qui régale. Bon, avec seulement trois titres des monstres belges, c'est un peu maigre, on reste sur sa faim. Pourtant, c'est gras ! Je ne vais pas refaire une énième description de leur style, juste préciser que "Solitary Minded", "Judged by apperrance" et "Well of happiness" sont parfaitement fidèles à ce qu'on attend d'eux d'habitude. Par le pouvoir du grind ancestral !
Là où ce Morally Wrong / Grind ‘Till Deafness est en revanche une pure réussite, c'est dans la découverte des vrais malades que sont les Havrais de Violent Noise Attack (V.N.A.) qui nous offrent quatorze morceaux dans la plus pure tradition, c'est-à-dire : son crado, vocaux vomis, pied au plancher pendant une dizaine de secondes, violence hystérique, bref, leur patronyme tient absolument toutes ses enchanteresses promesses.
Rien à dire sur ce split nauséabond, si ce n'est que son odeur s'incruste bien profond dans vos fosses nasales, et ce durablement. Une pièce de choix dans ce gros animal à l'œil vitreux qu'est l'underground.
Bon 15/20 | par Arno Vice |
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