Matt Ward
Transfiguration Of Vincent |
Label :
Merge |
||||
Tout commence sur le pas de la porte, on entend les cigales, un craquement déclenche la musique, en cadence avec les insectes... C'est 'Transfiguration #1', instrumental majestueux qui ouvre ce disque qui l'est tout autant.
Avec 'Vincent O'brien', Matt Ward muscle le jeu et sort un vieux piano de bastringue, enchaine avec un presque groovy 'Sad sad song' avant de revenir au calme.
On a passé la porte, les cigales sont parties et l'américain est tout près pour 'Undertaker', boisé à souhait.
La suite suit le même procédé: un instru et 3-4 pépites : un virevoltant baptême en 'Helicopter' et on replonge presque dans les compiles d'Alan Lomax ('Get to the table on time').
Le final sera grandiose : 'Let's dance' (le tube de Bowie) est passé au Ward' Willy Waler pour donner autre chose, des frissons tout partout ! Le poil se rabaisse à peine pour une 2nde Transfiguration...
Le sommet (hélas) de M. Ward.
Avec 'Vincent O'brien', Matt Ward muscle le jeu et sort un vieux piano de bastringue, enchaine avec un presque groovy 'Sad sad song' avant de revenir au calme.
On a passé la porte, les cigales sont parties et l'américain est tout près pour 'Undertaker', boisé à souhait.
La suite suit le même procédé: un instru et 3-4 pépites : un virevoltant baptême en 'Helicopter' et on replonge presque dans les compiles d'Alan Lomax ('Get to the table on time').
Le final sera grandiose : 'Let's dance' (le tube de Bowie) est passé au Ward' Willy Waler pour donner autre chose, des frissons tout partout ! Le poil se rabaisse à peine pour une 2nde Transfiguration...
Le sommet (hélas) de M. Ward.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Hector |
En ligne
407 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages