Blur
Girls & Boys |
Label :
Food |
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L'été est propice à des tubes inoubliables relatifs souvent à des amours de vacances. Il y eut Eric Charden qui annonçait que l'été sera chaud dans les t-shirt et les maillots. Il y eut Kaoma et ses frottis-frottas par devant de sa "Lambada", qui précéda les frottis-frottas par derrière de la "Soca Dance", qui précéda les boules que Yannick Noah s'envoya dans une brousse avec secousses...
Eté 1994. Autoradio allumée sur une route très ensoleillée d'un mois d'août. "Girls & Boys", le tube pop-disco au fameux refrain méli-mélo de Blur envahit l'habitacle de la voiture. Revient en mémoire le clip et la vision d'un groupe jouant sur un fond de piscine party. Le chanteur, au-delà de ses airs et de son timbre de chochotte, ressemble à un garçon qui ressemble à une fille qui à l'air d'un garçon. Ca se mélange. C'est ambigu. Comme ces jeunes chauves qui se roulent tendrement une belle gamelle. Ironique aussi. Les tropiques, musicalement cette année-là, sont venues d'Angleterre. Qui l'aurait cru ? Et ça fait marrer nos mouettes. S'il fallait garder un seul tube estival, celui-là aurait de fortes chances de primer. La 'face B' s'intitule "Peter Panic", qui est une petite merveille pop sentant autant un soleil bronzant dans la forme. Et puis avouons qu'il existe pire comme pochette, ici offrant un cliché de romantisme dont rêverait une groupie de Christophe Rippert.
Eté 1994. Autoradio allumée sur une route très ensoleillée d'un mois d'août. "Girls & Boys", le tube pop-disco au fameux refrain méli-mélo de Blur envahit l'habitacle de la voiture. Revient en mémoire le clip et la vision d'un groupe jouant sur un fond de piscine party. Le chanteur, au-delà de ses airs et de son timbre de chochotte, ressemble à un garçon qui ressemble à une fille qui à l'air d'un garçon. Ca se mélange. C'est ambigu. Comme ces jeunes chauves qui se roulent tendrement une belle gamelle. Ironique aussi. Les tropiques, musicalement cette année-là, sont venues d'Angleterre. Qui l'aurait cru ? Et ça fait marrer nos mouettes. S'il fallait garder un seul tube estival, celui-là aurait de fortes chances de primer. La 'face B' s'intitule "Peter Panic", qui est une petite merveille pop sentant autant un soleil bronzant dans la forme. Et puis avouons qu'il existe pire comme pochette, ici offrant un cliché de romantisme dont rêverait une groupie de Christophe Rippert.
Excellent ! 18/20 | par Pascha |
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