Herman Düne
Next Year In Zion |
Label :
Source |
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La succession des sommets atteints par Giant et le départ de André de Herman Düne avaient tout l'air d´un tournant pour le groupe.
Et à l´écoute de ce Next Year In Zion, on en a la confirmation.
Oh certes, on est en terrain connu. Comme d´habitude on est en possession d´un beau recueil de compositions folks. Chantés d´une voix chevrotante et chaleureuse, les morceaux proposés sont dans la continuité de ce que David Ivar écrivait sur les précédents albums du groupe. Des ritournelles tantôt enjouées et ensoleillées, tantôt un brin mélancolique, mais toujours avec un sens de la mélodie au-dessus de la moyenne. On sent que ces chansons ont été composées entre potes, un peu à l´écart du monde. Ambiance intimiste et apaisée sont au programme. Et par dessus des parties de guitare simples mais lumineuses, viennent se greffer de jolis arrangements : percussions exotiques, cuivres, des soli de guitare sympas, et surtout de jolis chœurs féminins, venant adoucir le tout.
Mais pourtant, force est de constater que tout n´est pas parfait. Les chansons sont toutes dans le même genre, et malgré les arrangements, se ressemblent un peu toutes. Là oú les albums précédents du groupe étaient variés et surprenants, Next Year In Zion, lui, manque de surprise et d´un peu de folie. Ne vous inquiétez pas, cela reste de la musique de qualité. Mais l´album est plutôt mou, plan-plan, et malgré l´aisance mélodique de David Ivar, la monotonie s´installe assez rapidement. Et venant d´un groupe comme Herman Düne, on ne peut s´empêcher d´être déçu. Alors on y reviendra avec plaisir, mais moins souvent que sur les autres albums. Et pour un peu plus d´originalité, on ira plutôt chercher du côté des derniers Adam Green ou Fleet Foxes.
Allez les gars, un petit coup de mou mais on vous fait confiance pour la prochaine fois !
Et à l´écoute de ce Next Year In Zion, on en a la confirmation.
Oh certes, on est en terrain connu. Comme d´habitude on est en possession d´un beau recueil de compositions folks. Chantés d´une voix chevrotante et chaleureuse, les morceaux proposés sont dans la continuité de ce que David Ivar écrivait sur les précédents albums du groupe. Des ritournelles tantôt enjouées et ensoleillées, tantôt un brin mélancolique, mais toujours avec un sens de la mélodie au-dessus de la moyenne. On sent que ces chansons ont été composées entre potes, un peu à l´écart du monde. Ambiance intimiste et apaisée sont au programme. Et par dessus des parties de guitare simples mais lumineuses, viennent se greffer de jolis arrangements : percussions exotiques, cuivres, des soli de guitare sympas, et surtout de jolis chœurs féminins, venant adoucir le tout.
Mais pourtant, force est de constater que tout n´est pas parfait. Les chansons sont toutes dans le même genre, et malgré les arrangements, se ressemblent un peu toutes. Là oú les albums précédents du groupe étaient variés et surprenants, Next Year In Zion, lui, manque de surprise et d´un peu de folie. Ne vous inquiétez pas, cela reste de la musique de qualité. Mais l´album est plutôt mou, plan-plan, et malgré l´aisance mélodique de David Ivar, la monotonie s´installe assez rapidement. Et venant d´un groupe comme Herman Düne, on ne peut s´empêcher d´être déçu. Alors on y reviendra avec plaisir, mais moins souvent que sur les autres albums. Et pour un peu plus d´originalité, on ira plutôt chercher du côté des derniers Adam Green ou Fleet Foxes.
Allez les gars, un petit coup de mou mais on vous fait confiance pour la prochaine fois !
Correct 12/20 | par Vamos |
Posté le 07 novembre 2008 à 20 h 36 |
Sixième opus pour les trois fréros barbus, et second dans la sphère des majors. Il est marrant de voir que chacun de leurs albums possèdent un son différent (je n'ai pas dis musique), ayant jonglé sûrement entre différents studio/label (excusez mon inculture). Heureusement dira-t-on, car les Herman Düne, cette chère famille évolue à son rythme, c'est à dire trèèès lentement.
Voici donc cette année Next Year In Zion, nom pompeux, pochette mièvre, pouf dans ta gueule.
L'instrumentation rajoutée sur Giant, l'embellissement son made in gros studio, est gardée ici, on ne touche plus: choeur, cuivre à tout va, guitare hawaïenne, percussion des plus exotiques, c'est encore les vacances, éternellement... Bien que, peut être est-ce la fin du voyage pour eux. Quoi Herman Dune sédentarisé ?
Et hop là je m'arrête. Merde quoi il ne décrit pas toutes les chansons?
Arrivé à ce point difficile d'être objectif. Tout dépend si vous venez juste de découvrir Herman Düne, que c'est le premier album que vous écoutez. Alors oui ça s'écoute comme sur des roulettes, et ce dès la première écoute: c'est chaud, pop, rond, bien écrit, et ça met le sourire. Ils écrivent à tout va, zion trouvé le filon de l'écriture, votre corde sensible; et les frangins alchimistes ne se privent pas de s'en vanter puisqu'il affirme avoir 400 chansons à leur actif, rien que ça....
Ce qui peine c'est qu'a trop diluer la sauce, ils en arrivent à en dégoûter certains, (moi ! moi!) de certains albums que j'apprécie. Tout ça passe à travers mes oreilles sans rien de saillant, ça s'écoule comme au supermarché.
Pour ma part vous l'avez compris j'ai atteint le taux ‘maximum admissible', je vais laisser leur discographie dans un coin histoire que ça décante un peu, mais s'il vous plaît Herman Düne faites une p'tite pause, le point quoi!
Allez un p'tit 14 ? C'est méchant un 14 ? Moi j'étais content quand j'avais 14...
Voici donc cette année Next Year In Zion, nom pompeux, pochette mièvre, pouf dans ta gueule.
L'instrumentation rajoutée sur Giant, l'embellissement son made in gros studio, est gardée ici, on ne touche plus: choeur, cuivre à tout va, guitare hawaïenne, percussion des plus exotiques, c'est encore les vacances, éternellement... Bien que, peut être est-ce la fin du voyage pour eux. Quoi Herman Dune sédentarisé ?
Et hop là je m'arrête. Merde quoi il ne décrit pas toutes les chansons?
Arrivé à ce point difficile d'être objectif. Tout dépend si vous venez juste de découvrir Herman Düne, que c'est le premier album que vous écoutez. Alors oui ça s'écoute comme sur des roulettes, et ce dès la première écoute: c'est chaud, pop, rond, bien écrit, et ça met le sourire. Ils écrivent à tout va, zion trouvé le filon de l'écriture, votre corde sensible; et les frangins alchimistes ne se privent pas de s'en vanter puisqu'il affirme avoir 400 chansons à leur actif, rien que ça....
Ce qui peine c'est qu'a trop diluer la sauce, ils en arrivent à en dégoûter certains, (moi ! moi!) de certains albums que j'apprécie. Tout ça passe à travers mes oreilles sans rien de saillant, ça s'écoule comme au supermarché.
Pour ma part vous l'avez compris j'ai atteint le taux ‘maximum admissible', je vais laisser leur discographie dans un coin histoire que ça décante un peu, mais s'il vous plaît Herman Düne faites une p'tite pause, le point quoi!
Allez un p'tit 14 ? C'est méchant un 14 ? Moi j'étais content quand j'avais 14...
Sympa 14/20
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