Herman Düne
Giant |
Label :
Source |
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Bonne nouvelle : le clan Herman Dune continue d'avancer.
Oh, bien sur, il progresse lentement, à son rythme, mais il avance et s'ouvre à d'autres horizons.
C'est aux mélodies que l'on reconnaît le trio, dès les premiers titres de Giant André, Ivar et Neman sont démasqués : l'aisance mélodique et la facilité d'exécution sont ici comme une marque de fabrique.
Mais il y a quelque(s) chose(s) de nouveau !!
Des chœurs féminins (idéal contrepoint à la voix doucement chevrotante de David), des cuivres (en veux-tu en voilà), les percussions décalées de Jérôme Lorichon (la moitié de Berg Sans Nipple) sont probablement la source de cette délicieuse sensation de nouveauté. Et l'on s'aperçoit, médusé, que l'on aborde des contrées inconnues du groupe jusqu'à ce jour : parfum de reggae ou effluves de calypso.
Bonne nouvelle : après sept albums, aucuns signes de lassitude ; et mieux encore, le passage sur une major n'a aucunement affecté le trio !
Oh, bien sur, il progresse lentement, à son rythme, mais il avance et s'ouvre à d'autres horizons.
C'est aux mélodies que l'on reconnaît le trio, dès les premiers titres de Giant André, Ivar et Neman sont démasqués : l'aisance mélodique et la facilité d'exécution sont ici comme une marque de fabrique.
Mais il y a quelque(s) chose(s) de nouveau !!
Des chœurs féminins (idéal contrepoint à la voix doucement chevrotante de David), des cuivres (en veux-tu en voilà), les percussions décalées de Jérôme Lorichon (la moitié de Berg Sans Nipple) sont probablement la source de cette délicieuse sensation de nouveauté. Et l'on s'aperçoit, médusé, que l'on aborde des contrées inconnues du groupe jusqu'à ce jour : parfum de reggae ou effluves de calypso.
Bonne nouvelle : après sept albums, aucuns signes de lassitude ; et mieux encore, le passage sur une major n'a aucunement affecté le trio !
Parfait 17/20 | par Hpl |
Posté le 21 juin 2008 à 15 h 13 |
L'été vient tout juste de commencer et je ressors donc cet album de 2006 à la drôle de pochette. Herman Düne est le groupe estival par excellence, et cet album est peut-être ce qu'ils ont fait de mieux.
Giant est un sommet de coolitude où le spleen se transforme directement en rayon de soleil et où la pluie n'existe pas. C'est l'éloge de la simplicité, de la poésie apaisée. Ce sont seize ritournelles aux mille couleurs.
L'album s'ouvre sur un hymne à la fraîcheur, "I Wish I Could See You Soon", qui vous rentre tout de suite en tête, et qui vous redonne le sourire d'emblée. Un sourire qui ne vous quittera pas, mais qui se teintera de mélancolie avec "By the Light of the Moon", ou de pure joie avec "Pure Hearts", et son ravissant solo de saxophone.
Des textes simples mais jamais simplistes, dont se dégage une poésie enfantine et raffraichissante. Les faux-frères Düne nous font beaucoup de bien avec pas grand chose.
Pas la peine d'en rajouter, les chroniques précédant la mienne résument plutôt bien les qualités de cet album, compagnon idéal du repos et de la tranquilité.
Giant est un sommet de coolitude où le spleen se transforme directement en rayon de soleil et où la pluie n'existe pas. C'est l'éloge de la simplicité, de la poésie apaisée. Ce sont seize ritournelles aux mille couleurs.
L'album s'ouvre sur un hymne à la fraîcheur, "I Wish I Could See You Soon", qui vous rentre tout de suite en tête, et qui vous redonne le sourire d'emblée. Un sourire qui ne vous quittera pas, mais qui se teintera de mélancolie avec "By the Light of the Moon", ou de pure joie avec "Pure Hearts", et son ravissant solo de saxophone.
Des textes simples mais jamais simplistes, dont se dégage une poésie enfantine et raffraichissante. Les faux-frères Düne nous font beaucoup de bien avec pas grand chose.
Pas la peine d'en rajouter, les chroniques précédant la mienne résument plutôt bien les qualités de cet album, compagnon idéal du repos et de la tranquilité.
Excellent ! 18/20
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