Green On Red
No Free Lunch / The Killer Inside Me |
Label :
Mercury |
||||
Green On Red, c'est d'abord une découverte forfuite sur la foi d'une chronique et d'une pochette; la chronique parlait "d'un panorama destructeur du folklore américain, de rock-country et pas de l'inverse" et la pochette montrait, avec un trou en son milieu, des cow-boys chassant l'ours ou le bison.
Mais l'univers de No Free Lunch, mini album 7 titres et de l'album The Killer Inside Me (paru lui en 1987), c'est plus que ça...
C'est le boeuf que les Stones, Neil Young et Nick Cave n'ont jamais fait ensemble.
C'est l'orgue de Nick Cave dans Henry's Dream, c'est le piano honky tonk des stones dans Exile On Main Street, c'est l'accent du sud sur "Time Slips Away". Mais l'accent d'un Willie Nelson qui aurait immigré à Détroit pour apprendre la guitare electrique.
Produit par le sorcier Jim Dickinson (Big star, Cramps et Stones) ces deux disques sont un peu comme le style de leurs pochettes; c'est une affiche "Wanted" du far-ouest, placardé sur le mur du saloon d'une ville fantôme.
On ne fait plus attention à eux , mais le jour où on les redécouvre, c'est pour toucher la prime...
Mais l'univers de No Free Lunch, mini album 7 titres et de l'album The Killer Inside Me (paru lui en 1987), c'est plus que ça...
C'est le boeuf que les Stones, Neil Young et Nick Cave n'ont jamais fait ensemble.
C'est l'orgue de Nick Cave dans Henry's Dream, c'est le piano honky tonk des stones dans Exile On Main Street, c'est l'accent du sud sur "Time Slips Away". Mais l'accent d'un Willie Nelson qui aurait immigré à Détroit pour apprendre la guitare electrique.
Produit par le sorcier Jim Dickinson (Big star, Cramps et Stones) ces deux disques sont un peu comme le style de leurs pochettes; c'est une affiche "Wanted" du far-ouest, placardé sur le mur du saloon d'une ville fantôme.
On ne fait plus attention à eux , mais le jour où on les redécouvre, c'est pour toucher la prime...
Excellent ! 18/20 | par Swan |
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