Lane
Teaching Not To Pray |
Label :
Nineteen Something |
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Quand j'ai commencé à approfondir ma culture rock au début des années 90, la noisy-pop ne comptait à mes oreilles que deux groupes dignes de cette appellation : The Wedding Present et les Thugs. Ce n'est que plus tard que j'ai découvert que cette étiquette s'appliquait à une scène britannique à laquelle les premiers n'étaient rattachés que de loin et avec laquelle les seconds n'avaient rien à voir.
Il est difficile de ne pas penser aux Thugs en entendant la voix nasillarde d'Éric Sourice soutenue par des choeurs et planant au-dessus d'un mur de guitares soutenu par une rythmique punk hypnotique. Dans ce nouveau groupe, il y en a trois, des guitares, ce qui permet des variations d'intensité assez sympathiques.
La première production du nouveau projet des frères Sourice ne compte que quatre titres, 12 petites minutes. Bien trop peu, mais leurs mélodies lancinantes accrochent l'oreille dès la première écoute. Vivement l'album.
Il est difficile de ne pas penser aux Thugs en entendant la voix nasillarde d'Éric Sourice soutenue par des choeurs et planant au-dessus d'un mur de guitares soutenu par une rythmique punk hypnotique. Dans ce nouveau groupe, il y en a trois, des guitares, ce qui permet des variations d'intensité assez sympathiques.
La première production du nouveau projet des frères Sourice ne compte que quatre titres, 12 petites minutes. Bien trop peu, mais leurs mélodies lancinantes accrochent l'oreille dès la première écoute. Vivement l'album.
Parfait 17/20 | par Myfriendgoo |
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