Kikagaku Moyo
Forest Of Lost Children |
Label :
Beyond Beyond Is Beyond |
||||
C'est connu depuis bien longtemps, les Japonais aiment enchaîner très vite les albums et Kikagaku Moyo ne déroge pas à la règle. En seulement deux ans, voilà qu'ils sortent déjà leur troisième opus psychédélique.
Composé de "seulement" six titres dépassant de peu la demi-heure, Forest Of Lost Children est moins contemplatif, mais tout autant hypnotique que ses prédécesseurs. La musique se fait plus aventureuse, passant des sentiers calmes aux rythmes turbulents quasi chamaniques du rock psyché, souvent même au sein d'un même morceau.
Niveau sonorités, ça rappelle un peu dès l'ouverture "Semicircle" le Brian Jonestown Massacre époque My Bloody Underground, les Pink Floyd et les Doors sur "Kodama", GOAT pour le véritable bijou "Smoke and Mirrors" ainsi que "Hem" et ses chœurs rituels; et enfin Siena Root pour les deux restantes "Streets of Calcutta" et "White Moon" qui termine parfaitement ce troisième disque. La seule différence étant la langue Japonaise chantée d'une voix très suave et envoûtante par Tomo Katsurada.
Kikagaku Moyo fait partie de ces formations Japonaises de psyché sur lesquelles on peut compter pour l'avenir. Les musiciens sont doués, ont bien intégré les codes du style et pour le moment ne réalisent aucun faux pas. Ganbatte kudasaï pour la suite !
Composé de "seulement" six titres dépassant de peu la demi-heure, Forest Of Lost Children est moins contemplatif, mais tout autant hypnotique que ses prédécesseurs. La musique se fait plus aventureuse, passant des sentiers calmes aux rythmes turbulents quasi chamaniques du rock psyché, souvent même au sein d'un même morceau.
Niveau sonorités, ça rappelle un peu dès l'ouverture "Semicircle" le Brian Jonestown Massacre époque My Bloody Underground, les Pink Floyd et les Doors sur "Kodama", GOAT pour le véritable bijou "Smoke and Mirrors" ainsi que "Hem" et ses chœurs rituels; et enfin Siena Root pour les deux restantes "Streets of Calcutta" et "White Moon" qui termine parfaitement ce troisième disque. La seule différence étant la langue Japonaise chantée d'une voix très suave et envoûtante par Tomo Katsurada.
Kikagaku Moyo fait partie de ces formations Japonaises de psyché sur lesquelles on peut compter pour l'avenir. Les musiciens sont doués, ont bien intégré les codes du style et pour le moment ne réalisent aucun faux pas. Ganbatte kudasaï pour la suite !
Excellent ! 18/20 | par Beckuto |
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