Boy Sets Fire
Hasselt - Belgique [M.O.D.] - jeudi 16 mars 2006 |
C'est devant un public relativement nombreux et grandissant par rapport à son apparition de l'année dernière que Boysetsfire relaye les post-hardcoreux anglais de Tribute To Nothing.
Dix jours après la sortie de son quatrième opus The Misery Index : Notes From The Plague Years reflétant plus que jamais les facettes hypersensibles et paisibles de son répertoire, la bande menée par Nathan Gray se montrera finalement infernale tout au long du set. Si la dernière plaque sera régulièrement explorée ("Walk Astray" lancera avec brio et passion les hostilités), les américains proposeront néanmoins un assemblage sonique visitant l'ensemble de leurs œuvres.
On a donc droit à la frénésie de "Rookie", à la passion incendiaire de "Release The Dogs" ou encore à l'autorité profonde de "Pure".
Les atomes gracieux se poseront quant à eux sur des titres comme "Requiem" ou "Empire", présents sur la dernière plaque du combo.
En définitive, Boysetsfire se montre palpitant, haletant, plein de force et de brutalité, dans une formule accablée par une passion diabolique.
Bombe sur bombe ou tube sur tube, l'orchestre emo-metal-pop par excellence ne s'arrêtera pas un seul instant lors de ses envolées fascinantes et dans son intention plus que jamais réussie de mettre le public à genoux.
On peut pratiquement parler de prestation parfaite et idéale.
Aussi essoufflé que son public dansant et pris par la furie et par les spasmes, Boysetsfire jettera finalement l'éponge après une grosse heure, sans nécessité de répondre à un quelconque rappel trop prévisible.
Tout le monde étant de toute façon émoussé et souffrant depuis un bon bout de temps.
Ce groupe-là est définitivement excellent !
Dix jours après la sortie de son quatrième opus The Misery Index : Notes From The Plague Years reflétant plus que jamais les facettes hypersensibles et paisibles de son répertoire, la bande menée par Nathan Gray se montrera finalement infernale tout au long du set. Si la dernière plaque sera régulièrement explorée ("Walk Astray" lancera avec brio et passion les hostilités), les américains proposeront néanmoins un assemblage sonique visitant l'ensemble de leurs œuvres.
On a donc droit à la frénésie de "Rookie", à la passion incendiaire de "Release The Dogs" ou encore à l'autorité profonde de "Pure".
Les atomes gracieux se poseront quant à eux sur des titres comme "Requiem" ou "Empire", présents sur la dernière plaque du combo.
En définitive, Boysetsfire se montre palpitant, haletant, plein de force et de brutalité, dans une formule accablée par une passion diabolique.
Bombe sur bombe ou tube sur tube, l'orchestre emo-metal-pop par excellence ne s'arrêtera pas un seul instant lors de ses envolées fascinantes et dans son intention plus que jamais réussie de mettre le public à genoux.
On peut pratiquement parler de prestation parfaite et idéale.
Aussi essoufflé que son public dansant et pris par la furie et par les spasmes, Boysetsfire jettera finalement l'éponge après une grosse heure, sans nécessité de répondre à un quelconque rappel trop prévisible.
Tout le monde étant de toute façon émoussé et souffrant depuis un bon bout de temps.
Ce groupe-là est définitivement excellent !
Excellent ! 18/20 | par X_Cosmonaut |
Crédit Photo: Marke Tertster
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