The Posies
Evreux [L'Abordage] - mercredi 30 novembre 2005 |
Voilà donc les Posies avec leur dégaine si particulière : c'est qu'ils sont pas tous jeunes !
Ces américains de Seattle ont déjà une histoire et de nombreux albums derrière eux (pas toujours avec la même composition).
Le noyau dur du quator est donc en avant sur scène : Jon Auer et Ken Stringfellow, tous deux au chant et à la guitare (+ le synthé pour Ken). Le premier assez rondouillard est en costume avec cravate à lignes blanches et rouges (mélange de Franck Black et de Robert Smith !), et le second est un mix entre le chanteur d'Aerosmith et David Bowie pour la 'danddy attitude'.
Le son est lourd, le jeu de scène provocant : Ken crache par terre entre deux mots, Jon offre sa guitare et son jeu de mains en pâture, balance son instrument en l'air, et nous jette même quelques médiators au passage (forcément étant juste devant, il a fallu que j'en récupère un ...). Oups, j'aurai dû prendre mes bouchons d'oreilles !
Heureusement, le répertoire est varié, et on passe d'un morceau grunge très agressif à une semi-balade au synthé. Les voix de Jon et Ken se marient à merveille ... J'avais limite l'impression parfois d'entendre Simon et Garfunkel ! A chaque reprise de rythme ou riff langoureux, les deux compères sautent comme des cabris, nous faisant oublier qu'ils n'ont plus 20 ans !
Entre deux morceaux, on apprend que Ken vit avec une Française à Paris et qu'il est <<glad to say fuck America !>>. Jon quant à lui explique les multiples splits du groupe et la force du destin qui les a conduit à se reformer aujourd'hui, dixit :<<It's amazing !>>
Une très très bonne énergie pour une perte auditive momentanée, mais qui vaut la peine : un bon rock alternatif bien mélodieux et pêchu ! Pour moi, une découverte plus que convaincante : je suis conquise.
Ces américains de Seattle ont déjà une histoire et de nombreux albums derrière eux (pas toujours avec la même composition).
Le noyau dur du quator est donc en avant sur scène : Jon Auer et Ken Stringfellow, tous deux au chant et à la guitare (+ le synthé pour Ken). Le premier assez rondouillard est en costume avec cravate à lignes blanches et rouges (mélange de Franck Black et de Robert Smith !), et le second est un mix entre le chanteur d'Aerosmith et David Bowie pour la 'danddy attitude'.
Le son est lourd, le jeu de scène provocant : Ken crache par terre entre deux mots, Jon offre sa guitare et son jeu de mains en pâture, balance son instrument en l'air, et nous jette même quelques médiators au passage (forcément étant juste devant, il a fallu que j'en récupère un ...). Oups, j'aurai dû prendre mes bouchons d'oreilles !
Heureusement, le répertoire est varié, et on passe d'un morceau grunge très agressif à une semi-balade au synthé. Les voix de Jon et Ken se marient à merveille ... J'avais limite l'impression parfois d'entendre Simon et Garfunkel ! A chaque reprise de rythme ou riff langoureux, les deux compères sautent comme des cabris, nous faisant oublier qu'ils n'ont plus 20 ans !
Entre deux morceaux, on apprend que Ken vit avec une Française à Paris et qu'il est <<glad to say fuck America !>>. Jon quant à lui explique les multiples splits du groupe et la force du destin qui les a conduit à se reformer aujourd'hui, dixit :<<It's amazing !>>
Une très très bonne énergie pour une perte auditive momentanée, mais qui vaut la peine : un bon rock alternatif bien mélodieux et pêchu ! Pour moi, une découverte plus que convaincante : je suis conquise.
Parfait 17/20 | par Solenraja |
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