Calexico
Paris [Le Trabendo] - lundi 18 septembre 2000 |
Après avoir écouté et réecouté l'album The Black Light, l'impensable se produit : mon groupe préféré, le collectif CALEXICO composé de membres de Giant Sand et d'un vrai orchestre de Mariachis mexicains, passe par Paris pour sa tournée européenne.
Dans une salle de 200 personnes car encore peu connu (l'album Hot Rail vient juste de sortir), Joey Burn et son groupe livrent un set complet et varié.
L'ambiance neo-country est là, le public debout près de la scène, dans une chaleur moite, participe à la fiesta mexicaine.
Tout y passe : instrumentaux à la Morricone, singles Western : "Ballade Of Cable Hogue" ou "The Ride" ; ballades folk ou jazzy, où guitare-slide, trompette à la Miles Davis, xylophone et marimba s'entrecroisent.
Ce soir là, la magie est apparue, à un tel point qu'à la fin du concert, beaucoup se sont demandés si ils n'avaient pas vu un mirage, comme ceux que l'on rencontre en plein désert ... mexicain bien sûr !
Dans une salle de 200 personnes car encore peu connu (l'album Hot Rail vient juste de sortir), Joey Burn et son groupe livrent un set complet et varié.
L'ambiance neo-country est là, le public debout près de la scène, dans une chaleur moite, participe à la fiesta mexicaine.
Tout y passe : instrumentaux à la Morricone, singles Western : "Ballade Of Cable Hogue" ou "The Ride" ; ballades folk ou jazzy, où guitare-slide, trompette à la Miles Davis, xylophone et marimba s'entrecroisent.
Ce soir là, la magie est apparue, à un tel point qu'à la fin du concert, beaucoup se sont demandés si ils n'avaient pas vu un mirage, comme ceux que l'on rencontre en plein désert ... mexicain bien sûr !
Intemporel ! ! ! 20/20 | par Swan |
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