The Bellrays
Strasbourg [La Laiterie, Salle Club] - vendredi 16 février 2018 |
Entrée en scène : "It's good to be here !" répond Lisa Kekaula vers le public d'où certains gaillards n'ont pas manqué de la saluer. En quinze ans, c'est la quatrième fois que j'ai croisé The Bellrays et j'ai bien peur de ne pas avoir grand chose à raconter. Mea culpa car je n'ai jamais posé les esgourdes ailleurs, en plus, que sur l'album Meet The BellRays. Le meilleur souvenir du groupe en live restera celui du concert à La Vapeur à Dijon mais ça remonte à bien des années en arrière déjà, en 2003, avec ce démarrage furibard du guitariste de l'époque Tony Fate pour "Too Many Houses In here". Ça décoiffait.
Mais l'avis d'une seule personne, en ce soir, n'est pas celui de tout un public et un paquet d'admirateurs du groupe américain ont pris leur pied et opiné du chef ; c'était limite si je n'allais pas me prendre l'arrière d'une boule à zéro transpirante sur le nez quelquefois. Lisa Kekaula, cinquante ans, sa très épaisse chevelure flottant telle une mousse légère à la couleur très café où se reflétaient les lumières de la scène et son compagnon Bob Vennum ont enchaîné des titres méconnus de ma pomme, mais faisant comme emprunter une route assez classique. Ils semblent avoir délaissé les morceaux plus bourrins du passé, secondés par deux nouveaux gars à la basse et à la batterie (je n'avais pas revu le groupe depuis 2008, je précise). On notera, en plus d'un long morceau à l'empreinte mélodique 'arabisée', deux reprises dont l'une sonnait comme du AC/DC (ce n'était pas "Highway To Hell") et "Johnny Be Good" en toute fin de soirée qui a bougé plus comprenant également "Black Lightening". Bob a relayé Lisa -qui a paru parfois assez fatiguée- au chant de temps à autre ainsi que le bassiste (je n'ai pas souvenir de son nom, désolé) pour un seul titre.
The Bellrays, ça reste énergiquement du rock dans les cordes et de la soul dans la voix, les deux styles musicalement bien mariés qui ont fait remuer et vibrer dans la petite salle remplie complètement à vue d'œil (et à quelques personnes près).
P.S. Première partie assurée par Hoboken Division manquée, la faute d'avoir galéré pour se garer dans les alentours.
Mais l'avis d'une seule personne, en ce soir, n'est pas celui de tout un public et un paquet d'admirateurs du groupe américain ont pris leur pied et opiné du chef ; c'était limite si je n'allais pas me prendre l'arrière d'une boule à zéro transpirante sur le nez quelquefois. Lisa Kekaula, cinquante ans, sa très épaisse chevelure flottant telle une mousse légère à la couleur très café où se reflétaient les lumières de la scène et son compagnon Bob Vennum ont enchaîné des titres méconnus de ma pomme, mais faisant comme emprunter une route assez classique. Ils semblent avoir délaissé les morceaux plus bourrins du passé, secondés par deux nouveaux gars à la basse et à la batterie (je n'avais pas revu le groupe depuis 2008, je précise). On notera, en plus d'un long morceau à l'empreinte mélodique 'arabisée', deux reprises dont l'une sonnait comme du AC/DC (ce n'était pas "Highway To Hell") et "Johnny Be Good" en toute fin de soirée qui a bougé plus comprenant également "Black Lightening". Bob a relayé Lisa -qui a paru parfois assez fatiguée- au chant de temps à autre ainsi que le bassiste (je n'ai pas souvenir de son nom, désolé) pour un seul titre.
The Bellrays, ça reste énergiquement du rock dans les cordes et de la soul dans la voix, les deux styles musicalement bien mariés qui ont fait remuer et vibrer dans la petite salle remplie complètement à vue d'œil (et à quelques personnes près).
P.S. Première partie assurée par Hoboken Division manquée, la faute d'avoir galéré pour se garer dans les alentours.
Sympa 14/20 | par Pascha |
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