Editors
Lausanne - Suisse [Festival Metropop, Salle Metropole] - samedi 14 novembre 2009 |
Editors a changé son fusil d'épaule, à peu près tout le monde est d'accord là dessus.
Le port de cette nouvelle veste marche sur certains titres du dernier album, pas sur d'autres.
Editors m'avait fortement impressionné sur scène en 2007 et c'est avec l'envie de retrouver un concert de chair et de sang dans une salle humaine (3 jours après la démesure de Depeche Mode) que je rejoins la très belle salle Metropole de Lausanne datant des années 30 et réputée pour son acoustique.
Le concert démarre en relative douceur sur le premier titre du dernier album, tom au piano, voix plus grave que jamais. Centre du titre, la batterie attaque et Smith d'exploser sur scène. Tout s'enchaîne alors très, très vite et le groupe fait preuve d'une énergie débordante. Le son donné aux claviers n'est pas vraiment ma tasse de thé mais ça passe plutôt bien sur scène. "Bricks And Mortar" sera le moins bon titre de la soirée, le son étant vraiment trop daté à mon goût.
"Mais comment vont-ils gérer la transition avec les morceaux beaucoup plus rock des deux premiers albums ?" me demandais-je ....
De manière franche et brutale. L'intro martelée de "An End Has A Start" démarre et tout cela est tellement soudain qu'on n'a pas le temps de se poser des questions.
La soirée va passer à toute vitesse, transitions ultra rapide, quelques titres plus lents (mention spéciale au tout jeune "Eat Raw Meat", très machinique et parfaitement interprété). Le public est extrêmement réactif et quel plaisir que d'observer Smith, ses mimiques, son visage crispé, ses sourires. Le set se termine sur un "Munich" tonitruant et qui soulève les corps, et vive la guitare !
Premier rappel et le premier titre joué et celui qui, à mon étonnement, soulèvera le plus d'entrain : "Papillon".
Le son des claviers est encore une fois un peu too much pour moi, mais force est de constater que l'énergie dégagée de cette version live est impressionnante.
La voix de Tom Smith (qui était un peu devenue cliché sur certains titres) trouve sur la durée de ce concert toute la simplicité d'une interprétation pleine de sincérité, vide de tout effet. Cette voix est aussi le ciment entre les albums, et le charisme du Monsieur est toujours aussi fort.
L'épreuve de la scène est passé pour ce nouveau disque que j'ai à nouveau envie d'écouter.
J'ai retrouvé ce soir avec Editors la raison pour laquelle j'aime tant me retrouver dans une salle devant un groupe prêt à en découdre. Merci pour ça !
Le port de cette nouvelle veste marche sur certains titres du dernier album, pas sur d'autres.
Editors m'avait fortement impressionné sur scène en 2007 et c'est avec l'envie de retrouver un concert de chair et de sang dans une salle humaine (3 jours après la démesure de Depeche Mode) que je rejoins la très belle salle Metropole de Lausanne datant des années 30 et réputée pour son acoustique.
Le concert démarre en relative douceur sur le premier titre du dernier album, tom au piano, voix plus grave que jamais. Centre du titre, la batterie attaque et Smith d'exploser sur scène. Tout s'enchaîne alors très, très vite et le groupe fait preuve d'une énergie débordante. Le son donné aux claviers n'est pas vraiment ma tasse de thé mais ça passe plutôt bien sur scène. "Bricks And Mortar" sera le moins bon titre de la soirée, le son étant vraiment trop daté à mon goût.
"Mais comment vont-ils gérer la transition avec les morceaux beaucoup plus rock des deux premiers albums ?" me demandais-je ....
De manière franche et brutale. L'intro martelée de "An End Has A Start" démarre et tout cela est tellement soudain qu'on n'a pas le temps de se poser des questions.
La soirée va passer à toute vitesse, transitions ultra rapide, quelques titres plus lents (mention spéciale au tout jeune "Eat Raw Meat", très machinique et parfaitement interprété). Le public est extrêmement réactif et quel plaisir que d'observer Smith, ses mimiques, son visage crispé, ses sourires. Le set se termine sur un "Munich" tonitruant et qui soulève les corps, et vive la guitare !
Premier rappel et le premier titre joué et celui qui, à mon étonnement, soulèvera le plus d'entrain : "Papillon".
Le son des claviers est encore une fois un peu too much pour moi, mais force est de constater que l'énergie dégagée de cette version live est impressionnante.
La voix de Tom Smith (qui était un peu devenue cliché sur certains titres) trouve sur la durée de ce concert toute la simplicité d'une interprétation pleine de sincérité, vide de tout effet. Cette voix est aussi le ciment entre les albums, et le charisme du Monsieur est toujours aussi fort.
L'épreuve de la scène est passé pour ce nouveau disque que j'ai à nouveau envie d'écouter.
J'ai retrouvé ce soir avec Editors la raison pour laquelle j'aime tant me retrouver dans une salle devant un groupe prêt à en découdre. Merci pour ça !
Parfait 17/20 | par Shiboome |
In this light and on this evening
Bricks and mortar
An endhas a start
Bones
Yu don't know love
The racing rats
Eat Raw Meat
Bullets
Smokers
You are Fading
Walk the fleet road
Munich
Papillon
Fingers in the factory
Bricks and mortar
An endhas a start
Bones
Yu don't know love
The racing rats
Eat Raw Meat
Bullets
Smokers
You are Fading
Walk the fleet road
Munich
Papillon
Fingers in the factory
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