Sincabeza
Lyon [Le Sonic] - mardi 06 mars 2007 |
Sincabeza, quatrième ! Qu'est-ce qu'ils me réservent pour ce soir, pour la quatrième fois que je viens les voir live ? Comment mon groupe bordelais préféré (nd Taki: sachant qu'il y a une scène rock'n roll hyper intéressante du côté de la Gironde... allez faire un tour du côté de Total Heaven si vous passez dans le coin...) va-t-il s'y prendre pour prêcher le convaincu que je suis ?
A vrai dire, j'en sais rien mais cette question se dissipe quand j'entre dans le Sonic et que je vais discuter un peu avec Philippe, Eric et David, que j'achète leur nouveau disque et qu'ils m'expliquent que ce fameux titre à rallonge que j'aime beaucoup : "Edit sur passage avant fin ou montée d'instrument" vient d'extraits de notes de mix qui, mises ensemble, finissent par ne plus rien dire et tout signifier à la fois...
Cela dit, dans une péniche au bord de Saône (un des plus beaux coins de Lyon, quoique désertique malgré sa proximité de la gare de Perrache et de tous les réseaux routiers qui mènent à Lyon...)
Le temps passera vite ce soir avec au programme deux super groupes belges (j'ai perdu le flyer, sorry pour ces groupes mais si je retrouve leur myspace, j'en ferais part sur le forum...): un duo guitare-batterie (avec un super chanteur) et un quatuor post-rock qui feront une très belle prestation malgré le fait qu'on soit douze en comptant le staff du Sonic ce soir...
Puis Sincab s'installe au milieu de la piste plutôt que sur la scène et va jouer devant un public resserré. M'étant passé en boucle "Dimanche Martin" (nd Taki: putain j'aurais dû leur demander d'où provenait ce titre ? lequel a été traumatisé par J. Martin ?) toute la semaine, je frémis d'avance...
Et ça n'a pas raté, le groupe est vraiment au taquet, encore plus que les trois précédents concerts que j'ai vus d'eux... Les compos sortent aussi nettement qu'auparavant mais la limpidité qu'elles dégageaient semble désormais plus fougueuse. Et les voir tous les trois (Eric avec ses petits sauts, Philippe qui navigue des guitares au pédales en passant par son clavier et David toujours impressionnant avec ses grimaces et ses rythmiques alambiquées) aussi agités pour un résultat aussi clair m'impressionne. C'est la quatrième et je ne m'en lasse toujours pas...
Surtout que surprise ! En plein milieu d'un morceau, le clavier de Philippe a des ratés et après tergiversations, le groupe finit le concert sans le clavier en trio basse-guitare-batterie avec encore plus d'urgence. J'ai été estomaqué par la fureur qui a pris le groupe après cet incident, qui cependant ne les a pas empêchés de continuer. Au Baltard déjà, il y avait eu des soucis et ça avait été parfait. Et là, encore, pour des motifs différents, l'histoire se répète.
Je ne regrette d'avoir fait une fois de plus le déplacement (je revenais d'un week-end dans ch'Nord un jour plus tôt que prévu). En plus, le disque est sublime.
En espérant que les douze spectateurs ont chroniqué ce concert...
A vrai dire, j'en sais rien mais cette question se dissipe quand j'entre dans le Sonic et que je vais discuter un peu avec Philippe, Eric et David, que j'achète leur nouveau disque et qu'ils m'expliquent que ce fameux titre à rallonge que j'aime beaucoup : "Edit sur passage avant fin ou montée d'instrument" vient d'extraits de notes de mix qui, mises ensemble, finissent par ne plus rien dire et tout signifier à la fois...
Cela dit, dans une péniche au bord de Saône (un des plus beaux coins de Lyon, quoique désertique malgré sa proximité de la gare de Perrache et de tous les réseaux routiers qui mènent à Lyon...)
Le temps passera vite ce soir avec au programme deux super groupes belges (j'ai perdu le flyer, sorry pour ces groupes mais si je retrouve leur myspace, j'en ferais part sur le forum...): un duo guitare-batterie (avec un super chanteur) et un quatuor post-rock qui feront une très belle prestation malgré le fait qu'on soit douze en comptant le staff du Sonic ce soir...
Puis Sincab s'installe au milieu de la piste plutôt que sur la scène et va jouer devant un public resserré. M'étant passé en boucle "Dimanche Martin" (nd Taki: putain j'aurais dû leur demander d'où provenait ce titre ? lequel a été traumatisé par J. Martin ?) toute la semaine, je frémis d'avance...
Et ça n'a pas raté, le groupe est vraiment au taquet, encore plus que les trois précédents concerts que j'ai vus d'eux... Les compos sortent aussi nettement qu'auparavant mais la limpidité qu'elles dégageaient semble désormais plus fougueuse. Et les voir tous les trois (Eric avec ses petits sauts, Philippe qui navigue des guitares au pédales en passant par son clavier et David toujours impressionnant avec ses grimaces et ses rythmiques alambiquées) aussi agités pour un résultat aussi clair m'impressionne. C'est la quatrième et je ne m'en lasse toujours pas...
Surtout que surprise ! En plein milieu d'un morceau, le clavier de Philippe a des ratés et après tergiversations, le groupe finit le concert sans le clavier en trio basse-guitare-batterie avec encore plus d'urgence. J'ai été estomaqué par la fureur qui a pris le groupe après cet incident, qui cependant ne les a pas empêchés de continuer. Au Baltard déjà, il y avait eu des soucis et ça avait été parfait. Et là, encore, pour des motifs différents, l'histoire se répète.
Je ne regrette d'avoir fait une fois de plus le déplacement (je revenais d'un week-end dans ch'Nord un jour plus tôt que prévu). En plus, le disque est sublime.
En espérant que les douze spectateurs ont chroniqué ce concert...
Excellent ! 18/20 | par Takichan |
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