Sincabeza
Paris [Le Batofar] - mardi 27 décembre 2005 |
Soirée math rock ce soir au Batofar : 4 groupes pour nous remuer le bide en ces périodes de fête et de froid glacial.
Tout commence avec Flashing on Bright, duo guitare-batterie. Malheureusement, le son ne nous permet pas de profiter pleinement des plans de guitares, mais on ressent beaucoup de patate et de prise de risque dans le duo, à suivre...
La place est alors toute chaude pour nos amis de Sincabeza. Toujours le même plaisir à les retrouver, avec en prime, un morceau à deux guitares qui sonne mieux que lors des derniers concerts (grâce à l'utilisation d'une pédale qui permet de mieux distinguer les aigus et les basses d'Eric, m'expliquera Philippe après coup...), et un autre nouveau morceau. On retrouve cette subtilité dans le tissu mélodique et cette rythmique impressionnante (simplement une grosse caisse, une caisse claire, des cymbales et pourtant, quel jeu et quels breaks !). C'est Sincabeza, comme on les attendait, on est chauds bouillants maintenant et ce n'est pas Room 204 qui va nous refroidir, le duo nantais arrive au taquet sur scène, deux pandas en furie qui se balancent de plan en plan avec une fougue et un enthousiasme qui font plaisir à voir, je sais pas si c'est moi ou eux, mais leur set m'a semblé vachement court, j'en reprendrai bien un coup !
Puis la soirée s'achève de façon gauloise, deux anglais en slip et un chapeau de cowboy rouge répondant au doux nom de That Fucking Tank vont nous faire péter la tête au son d'un baryton et d'une batterie poussés à fond, pour un math rock pesant, puissant, parfois dansant. De plus, le jeu de scène du 'barytoniste' est sans complexe et théâtral à souhait (imaginez un mec en slip qui envoie des riffs de barbare en secouant le bassin comme un lapin, et vous obtenez un bon rire gras de Takichan). Et en fin de set, ils se rhabillent : la classe.
Bref, une soirée technique certes, éprouvante certes, mais l'enthousiasme des groupes présents a permis de faire de cette soirée 'exigente musicalement' un excellent moment ...
Le math-rock ou la beauté du geste.
Tout commence avec Flashing on Bright, duo guitare-batterie. Malheureusement, le son ne nous permet pas de profiter pleinement des plans de guitares, mais on ressent beaucoup de patate et de prise de risque dans le duo, à suivre...
La place est alors toute chaude pour nos amis de Sincabeza. Toujours le même plaisir à les retrouver, avec en prime, un morceau à deux guitares qui sonne mieux que lors des derniers concerts (grâce à l'utilisation d'une pédale qui permet de mieux distinguer les aigus et les basses d'Eric, m'expliquera Philippe après coup...), et un autre nouveau morceau. On retrouve cette subtilité dans le tissu mélodique et cette rythmique impressionnante (simplement une grosse caisse, une caisse claire, des cymbales et pourtant, quel jeu et quels breaks !). C'est Sincabeza, comme on les attendait, on est chauds bouillants maintenant et ce n'est pas Room 204 qui va nous refroidir, le duo nantais arrive au taquet sur scène, deux pandas en furie qui se balancent de plan en plan avec une fougue et un enthousiasme qui font plaisir à voir, je sais pas si c'est moi ou eux, mais leur set m'a semblé vachement court, j'en reprendrai bien un coup !
Puis la soirée s'achève de façon gauloise, deux anglais en slip et un chapeau de cowboy rouge répondant au doux nom de That Fucking Tank vont nous faire péter la tête au son d'un baryton et d'une batterie poussés à fond, pour un math rock pesant, puissant, parfois dansant. De plus, le jeu de scène du 'barytoniste' est sans complexe et théâtral à souhait (imaginez un mec en slip qui envoie des riffs de barbare en secouant le bassin comme un lapin, et vous obtenez un bon rire gras de Takichan). Et en fin de set, ils se rhabillent : la classe.
Bref, une soirée technique certes, éprouvante certes, mais l'enthousiasme des groupes présents a permis de faire de cette soirée 'exigente musicalement' un excellent moment ...
Le math-rock ou la beauté du geste.
| Parfait 17/20 | par Takichan |
Photos par Fab. Merci.
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