Beach House
Depression Cherry |
Label :
Sub Pop |
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Personne ne s'est encore encore dévoué pour chroniquer le tir doublé 2015 de Beach House ! Peut-être parce que leur musique inciterait plutôt à l'indolence et à l'abandon, qu'à l'effort, mettons!?.
Alors déjà en débutant Depression Cherry par un morceau comme " Levitation ", Beach House font très fort et annoncent clairement la couleur : laisser vous bercer et emporter dans cet espace ou tout n'est que douceur cotonneuse ! Que votre petit coeur soit conquis ou meurtri, vous y trouverez assurément votre compte car Beach House est la pour panser les plaies présentes ou à venir, aucun doutes à ce propos ! Et si le morceau suivant, " Sparks ", très My Bloody Valentine, constitue un petit intermède qui indique que le duo sait aussi faire preuve d'une stimulation toute relative , "Space songs " et " Beyond love " s'inscrivent dans cette même lignée du baume pour coeur qui saigne. Magiques et efficaces comme le " baume du tigre " ( conseillé pour le douleurs musculaires, les coups malencontreusement reçus, pincements divers etc; en plus l'odeur à base de camphre, à moins qu'il ne s'agisse d'eucalytus, est des plus agréable) ! Mais revenons à nos moutons . Car de moutons, à partir du 5eme morceau (10:37),il peut en être question tant la tentation de s'endormir peut s'imposer, l'effet répétitif devenant en effet quelque peu sédatif !.... La répétition , peut-être le principal ingrédient que ce groupe aura insufflé à la dream pop ! Mais, et qu'on ne s'y trompe pas, non sans la variation; ce qui fait un peu d'eux, et pour oser une comparaison qui boostera le potentiel culturel de cette chronique, à peu de frais, les Bach du genre ! . Et si une oreille inattentive pourra trouver Beach House ennuyeux car monotone, qui lui ouvrira son coeur saura y voir , tels les reflets dans l'eau, toujours semblable à elle même mais toujours différente tant elle reflète les nuages qui, dans l'immensité du ciel sans cesse varient (c'est le potentiel poétique de cette chronique que je viens de booster la... ) ! Mais avec les 3 morceaux suivants, la magie opère à nouveau. Et Days of candy, qui tranche un peu avec le reste de l'album avec son coté pop-baroque et avec un chant plus ample et envoûtant que jamais, vient clore cet album avec une certaine maestria . Bon, allez, osons l'écrire : depression Cherry atteint les cimes et vaut bien le réputé intouchable, Bloom !
Oui, car fait plutôt rare, à ma connaissance dans l'univers de la musique pop sans gras ajouté, il est permis d'évoquer le terme " tendresse ", de surcroît sans fard dans la musique de Beach House et Depression Cherry ne fait en aucune manière, bien au contraire, exception à la règle ! Alors son (daugther) of a beach, si tu es un tendre coeur,Depression Cherry ne saurait manquer de te séduire !
Alors déjà en débutant Depression Cherry par un morceau comme " Levitation ", Beach House font très fort et annoncent clairement la couleur : laisser vous bercer et emporter dans cet espace ou tout n'est que douceur cotonneuse ! Que votre petit coeur soit conquis ou meurtri, vous y trouverez assurément votre compte car Beach House est la pour panser les plaies présentes ou à venir, aucun doutes à ce propos ! Et si le morceau suivant, " Sparks ", très My Bloody Valentine, constitue un petit intermède qui indique que le duo sait aussi faire preuve d'une stimulation toute relative , "Space songs " et " Beyond love " s'inscrivent dans cette même lignée du baume pour coeur qui saigne. Magiques et efficaces comme le " baume du tigre " ( conseillé pour le douleurs musculaires, les coups malencontreusement reçus, pincements divers etc; en plus l'odeur à base de camphre, à moins qu'il ne s'agisse d'eucalytus, est des plus agréable) ! Mais revenons à nos moutons . Car de moutons, à partir du 5eme morceau (10:37),il peut en être question tant la tentation de s'endormir peut s'imposer, l'effet répétitif devenant en effet quelque peu sédatif !.... La répétition , peut-être le principal ingrédient que ce groupe aura insufflé à la dream pop ! Mais, et qu'on ne s'y trompe pas, non sans la variation; ce qui fait un peu d'eux, et pour oser une comparaison qui boostera le potentiel culturel de cette chronique, à peu de frais, les Bach du genre ! . Et si une oreille inattentive pourra trouver Beach House ennuyeux car monotone, qui lui ouvrira son coeur saura y voir , tels les reflets dans l'eau, toujours semblable à elle même mais toujours différente tant elle reflète les nuages qui, dans l'immensité du ciel sans cesse varient (c'est le potentiel poétique de cette chronique que je viens de booster la... ) ! Mais avec les 3 morceaux suivants, la magie opère à nouveau. Et Days of candy, qui tranche un peu avec le reste de l'album avec son coté pop-baroque et avec un chant plus ample et envoûtant que jamais, vient clore cet album avec une certaine maestria . Bon, allez, osons l'écrire : depression Cherry atteint les cimes et vaut bien le réputé intouchable, Bloom !
Oui, car fait plutôt rare, à ma connaissance dans l'univers de la musique pop sans gras ajouté, il est permis d'évoquer le terme " tendresse ", de surcroît sans fard dans la musique de Beach House et Depression Cherry ne fait en aucune manière, bien au contraire, exception à la règle ! Alors son (daugther) of a beach, si tu es un tendre coeur,Depression Cherry ne saurait manquer de te séduire !
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Slowdown |
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