Woods
With Light And With Love |
Label :
Woodsist |
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Avec de la lumière et de l'amour. A quoi bon se payer les services d'une attachée de presse quand le titre de l'album résume à lui seul la teneur du disque ?
Rajoutons néanmoins le soleil pour avoir une description plus complète. Car c'est bien de soleil dont il est question dès les premières notes de slide guitar de Tim Presley (White Fence) himself.
Ça s'appelle "Shepherd" et ça se déguste cigare au bec dans un hamac. Difficile de faire plus cool.
Mais Jeremy Earl aime les défis et a décidé de remplir son album de morceaux aussi jubilatoires. Sympa le gars. Dès lors il devient très difficile d'établir un ordre de préférence. Le morceau éponyme peut tout de même prétendre au titre. 9 minutes de guitares lumineuses, de refrains pétillants et de solis affriolants.
Moins étirée (5 minutes au compteur tout de même, le type n'est pas radin) "Moving To The Left" a cette assurance du tube immédiat, imparable. On serait même tenté de dire parfait (je l'ai dit ?). Jeremy Earle est assurément un sacré songwriter et sa voix, ses trouvailles mélodiques nous procurent du bonheur en barre (la délicieuse ballade "Leaves Like Glass" et ses synthés euphorisants, "Full Moon" et ses guitares taquines entre wah-wah et slides juteux...).
Pour que le message soit suffisamment clair, Earl vient nous achever en douceur grâce à la sublime "Feather Man" entre gratte acoustique, carillons et le violon de Samara Lubieski. Et cette voix si agréable... Tant de talent, ça frise l'indécence.
Avec un tel disque on est content de se lever pour aller bosser, on arbore même un sourire idiot dans le métro. Dans un monde aussi merdique, ou tant de choses nous détectent, on est ravi de pouvoir compter sur un tel allié fournisseur officiel de bouffée d'air frais.
Décidément on aime cette nouvelle scène de San Francisco. Ces gens-là veulent notre bonheur et savent comment s'y prendre pour nous en procurer. Et mine de rien, que ce soit avec Manipulator, For The Recently Found Innocent ou ce merveilleux With Light And With Love ce sont ni plus ni moins trois des meilleurs albums de l'année écoulée qu'ils nous ont offerts.
Rajoutons néanmoins le soleil pour avoir une description plus complète. Car c'est bien de soleil dont il est question dès les premières notes de slide guitar de Tim Presley (White Fence) himself.
Ça s'appelle "Shepherd" et ça se déguste cigare au bec dans un hamac. Difficile de faire plus cool.
Mais Jeremy Earl aime les défis et a décidé de remplir son album de morceaux aussi jubilatoires. Sympa le gars. Dès lors il devient très difficile d'établir un ordre de préférence. Le morceau éponyme peut tout de même prétendre au titre. 9 minutes de guitares lumineuses, de refrains pétillants et de solis affriolants.
Moins étirée (5 minutes au compteur tout de même, le type n'est pas radin) "Moving To The Left" a cette assurance du tube immédiat, imparable. On serait même tenté de dire parfait (je l'ai dit ?). Jeremy Earle est assurément un sacré songwriter et sa voix, ses trouvailles mélodiques nous procurent du bonheur en barre (la délicieuse ballade "Leaves Like Glass" et ses synthés euphorisants, "Full Moon" et ses guitares taquines entre wah-wah et slides juteux...).
Pour que le message soit suffisamment clair, Earl vient nous achever en douceur grâce à la sublime "Feather Man" entre gratte acoustique, carillons et le violon de Samara Lubieski. Et cette voix si agréable... Tant de talent, ça frise l'indécence.
Avec un tel disque on est content de se lever pour aller bosser, on arbore même un sourire idiot dans le métro. Dans un monde aussi merdique, ou tant de choses nous détectent, on est ravi de pouvoir compter sur un tel allié fournisseur officiel de bouffée d'air frais.
Décidément on aime cette nouvelle scène de San Francisco. Ces gens-là veulent notre bonheur et savent comment s'y prendre pour nous en procurer. Et mine de rien, que ce soit avec Manipulator, For The Recently Found Innocent ou ce merveilleux With Light And With Love ce sont ni plus ni moins trois des meilleurs albums de l'année écoulée qu'ils nous ont offerts.
Parfait 17/20 | par McNulty |
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