Elvis Costello
King Of America |
Label :
Demon |
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Commençons par le commencement: en réalité ce disque est crédité The Costello Show. Et parfois The Costello Show featuring The Attractions & The Confederates. Ça en jette.
En1985 Elvis Costello a plus ou moins mis au repos les attractions le temps de produire Run Sodomy & the Lash énorme second album des Pogues. Au passage il épousera la bassiste Cait O Riordan. Retour aux affaires l'année suivante sans The Attractions qui l'accompagnait non stop depuis 8ans. Pour l'occasion il s'entoure entre autres de James Burton (guitare) et Ronny Tutt (batterie) des anciens de Gram Parsons et de Elvis (le king cette fois) période From Elvis In Memphis. Ça en jette.
Et Elvis le petit teigneux monté sur pile devient un chanteur tout en simplicité et en finesse alternant la country et le rockab rockailleux et tout le folklore américain. Ce qu'on regroupe par fainéantise aujourd'hui sous le nom americana.
Chaque chanson est une perle. Entre la bien goupillé reprise du "Don't Let Me Be Misunderstood" ou la mélodie imparable de "Our Little Angel". On retiendra surtout un chef d'œuvre de simplicité la ballade "Indoor Fireworks". Le disque est tout en élégance, en violence retenue, en mélancolie qui ne sombre pas dans la tristesse pathétique. On y retrouve un petit délire très cowboy "Glitter Gulch" ou la voix rocailleuse et l'énergie de la chanson font bon ménage.
King Of America constitue un album un peu a part dans la discographie de Costello. Mais un véritable bijou qui parait il fut son plus grand succès commercial. On à connu pire. Et dire que cet album est souvent conchié par les analystes de la disco du Elvis. A mes yeux aussi important que This Year Model. Et en plus c'est magnifiquement réédité.
En1985 Elvis Costello a plus ou moins mis au repos les attractions le temps de produire Run Sodomy & the Lash énorme second album des Pogues. Au passage il épousera la bassiste Cait O Riordan. Retour aux affaires l'année suivante sans The Attractions qui l'accompagnait non stop depuis 8ans. Pour l'occasion il s'entoure entre autres de James Burton (guitare) et Ronny Tutt (batterie) des anciens de Gram Parsons et de Elvis (le king cette fois) période From Elvis In Memphis. Ça en jette.
Et Elvis le petit teigneux monté sur pile devient un chanteur tout en simplicité et en finesse alternant la country et le rockab rockailleux et tout le folklore américain. Ce qu'on regroupe par fainéantise aujourd'hui sous le nom americana.
Chaque chanson est une perle. Entre la bien goupillé reprise du "Don't Let Me Be Misunderstood" ou la mélodie imparable de "Our Little Angel". On retiendra surtout un chef d'œuvre de simplicité la ballade "Indoor Fireworks". Le disque est tout en élégance, en violence retenue, en mélancolie qui ne sombre pas dans la tristesse pathétique. On y retrouve un petit délire très cowboy "Glitter Gulch" ou la voix rocailleuse et l'énergie de la chanson font bon ménage.
King Of America constitue un album un peu a part dans la discographie de Costello. Mais un véritable bijou qui parait il fut son plus grand succès commercial. On à connu pire. Et dire que cet album est souvent conchié par les analystes de la disco du Elvis. A mes yeux aussi important que This Year Model. Et en plus c'est magnifiquement réédité.
| Très bon 16/20 | par Chaurionde |
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