Felt
The Pictorial Jackson Review |
Label :
Creation |
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Le mal-aimé celui-là. Et pour cause, niveau cohérence The Pictorial Jackson Review est un zéro pointé. Malheur d'un leader qui n'en a pas grand chose à carrer et laisse son partenaire claviériste terminer la chose à sa guise.
Le malheur donc c'est que jusqu'à "Don't Die On My Doorstep" et ses proférés souriant 'Don't Cry', on croit là tenir un petit chef-d'œuvre feltien. Un grand disque du genre pop qui carillonne du bon côté de la vie avec ses mélodies à siffloter la tête penchée en arrière. Du 'lalala' en boîte à bijoux. Et puis bam, deuxième face à l'époque vinyle, la sentence d'un Martin Duffy solo qui tricote deux instrumentaux vaguement jazzy. Ça casse abrupt la dynamique, de quoi donner envie de se griller désabusé une Davidoff et de commander un Ballentine's on the rocks. Ambiance piano-bar. On peut trouver ça tout à fait charmant mais rien de plus. Le mal est fait.
Alors oui on l'aime ce disque, pour sa première partie, souvent géniale. Mais on se sent obligé de le saquer un tantinet pour son tout coupé en deux.
Le malheur donc c'est que jusqu'à "Don't Die On My Doorstep" et ses proférés souriant 'Don't Cry', on croit là tenir un petit chef-d'œuvre feltien. Un grand disque du genre pop qui carillonne du bon côté de la vie avec ses mélodies à siffloter la tête penchée en arrière. Du 'lalala' en boîte à bijoux. Et puis bam, deuxième face à l'époque vinyle, la sentence d'un Martin Duffy solo qui tricote deux instrumentaux vaguement jazzy. Ça casse abrupt la dynamique, de quoi donner envie de se griller désabusé une Davidoff et de commander un Ballentine's on the rocks. Ambiance piano-bar. On peut trouver ça tout à fait charmant mais rien de plus. Le mal est fait.
Alors oui on l'aime ce disque, pour sa première partie, souvent géniale. Mais on se sent obligé de le saquer un tantinet pour son tout coupé en deux.
Bon 15/20 | par Sirius |
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