The Go-Betweens
Bright Yellow Bright Orange |
Label :
Clearspot |
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Les Go-Betweens se sont réunis pour le plus grand bonheur de leurs fans, en 2000 après plus de 10ans de séparation. Bright Yellow Bright Orange est le deuxième album issu de cette réunification pour le moins heureuse.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Rober Forster et Grant McLennan n'ont rien perdu de leur science innée de l'écriture pop. A vrai dire, on se demande pourquoi des chansons comme "Caroline And I" ou "Too Much Of One Thing" ne sont pas devenus des tubes internationaux repris sur toutes les ondes. Car la grande force de cette paire géniale de songwriters, c'est de savoir composer des airs que tout le monde croît connaître, sans pour autant réutiliser un vieux riff par-là ou une descente d'accord par-ci. Non, tout est original chez eux, comme cette façon très particulière de décrire un lieu, d'imposer une ambiance, de raconter une histoire vraie ou fausse. Ainsi, le clou de l'album est sans doute l'histoire de cette "Mrs Morgan" qui 'refuse toujours de voir la pluie'... La gravité et la douceur du chant de Grant McLennan n'a pas changé d'un poil depuis les débuts du groupe.
L'album dans son ensemble est légèrement plus mélancolique que les opus précédents et bénéficient d'une très bonne production qui s'est se faire discrète, convenant ainsi parfaitement à l'univers de nos australiens.
Malheureusement pour eux, leurs pop-songs parfaites ne dépasseront jamais le statut de cultissime. Mais peut-être est-ce après tout un bien puisqu'il permet à ceux qui les connaissent de se sentir un peu privilégiés. Et Bright Yellow Bright Orange ne fait que renforcer ce sentiment...
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Rober Forster et Grant McLennan n'ont rien perdu de leur science innée de l'écriture pop. A vrai dire, on se demande pourquoi des chansons comme "Caroline And I" ou "Too Much Of One Thing" ne sont pas devenus des tubes internationaux repris sur toutes les ondes. Car la grande force de cette paire géniale de songwriters, c'est de savoir composer des airs que tout le monde croît connaître, sans pour autant réutiliser un vieux riff par-là ou une descente d'accord par-ci. Non, tout est original chez eux, comme cette façon très particulière de décrire un lieu, d'imposer une ambiance, de raconter une histoire vraie ou fausse. Ainsi, le clou de l'album est sans doute l'histoire de cette "Mrs Morgan" qui 'refuse toujours de voir la pluie'... La gravité et la douceur du chant de Grant McLennan n'a pas changé d'un poil depuis les débuts du groupe.
L'album dans son ensemble est légèrement plus mélancolique que les opus précédents et bénéficient d'une très bonne production qui s'est se faire discrète, convenant ainsi parfaitement à l'univers de nos australiens.
Malheureusement pour eux, leurs pop-songs parfaites ne dépasseront jamais le statut de cultissime. Mais peut-être est-ce après tout un bien puisqu'il permet à ceux qui les connaissent de se sentir un peu privilégiés. Et Bright Yellow Bright Orange ne fait que renforcer ce sentiment...
Parfait 17/20 | par Sirius |
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