Liz Phair
Whip-Smart |
Label :
Matador |
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On avait tenté de nous la vendre comme la PJ Harvey américaine vers 93-94, avec ses textes crus et son rock dru. Un premier album assez épatant Exile In Guyville, et hop ! un an plus tard Whip-Smart.
Plus produit, l'album commence par deux chansons drôlement agréables, "Chopsticks", où la demoiselle sur un fragile piano désaccordé susurre à son mec qu'ils pourraient baiser puis regarder la télé. Chouette programme en vérité. Ensuite, le tube indie "Supernova", impeccable ritournelle grunge-pop.
Et puis plus rien. On s'ennuie ferme. Non, en fait on s'ennuie mou. La jeune gourgandine délurée fait penser à Suzanne Vega, tout cela est bien propre, bien convenu.
Enfin j'ai rien contre elle, bien au contraire, à l'époque on la voyait souvent en robe, avec des bas résille et des Doc Martens, toute l'esthétique d'une époque. Elle n'était pas belle, mais assez jolie avec ses yeux bleus et son air coquin. Mais ça fait pas tout on dirait.
Plus produit, l'album commence par deux chansons drôlement agréables, "Chopsticks", où la demoiselle sur un fragile piano désaccordé susurre à son mec qu'ils pourraient baiser puis regarder la télé. Chouette programme en vérité. Ensuite, le tube indie "Supernova", impeccable ritournelle grunge-pop.
Et puis plus rien. On s'ennuie ferme. Non, en fait on s'ennuie mou. La jeune gourgandine délurée fait penser à Suzanne Vega, tout cela est bien propre, bien convenu.
Enfin j'ai rien contre elle, bien au contraire, à l'époque on la voyait souvent en robe, avec des bas résille et des Doc Martens, toute l'esthétique d'une époque. Elle n'était pas belle, mais assez jolie avec ses yeux bleus et son air coquin. Mais ça fait pas tout on dirait.
Correct 12/20 | par Vlapush |
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