Silverchair
Without You |
Label :
EMI |
||||
Deuxième single extrait de l'excellent Diorama, "Without You" est une chanson diablement accrocheuse, de part son énorme mélodie en général et son refrain en particulier. Mention toute spéciale à l'outro de guitare, assez génial, qui mélange allégrement arpège aérien et riff costaud. Une 'feel good song' en puissance, à n'en point douter.
Le petit Daniel étant à l'époque handicapé par sa drôle de maladie (drôle 'hinhin', pas drôle 'haha'), le groupe se retrouve dans l'impossibilité de donner des concerts. D'où ce gentil lot de consolation : trois titres inédits en b-sides de ce single.
Tout d'abord "Asylum" qui navigue entre clavecin et piano. Ce titre, assez proche de "After All These Years", est une pure merveille de douceur poétique. Quiconque a suivi et aimé Silverchair ne peut qu'être ému par cette déclaration de Johns : il a trouvé son bien être, après toutes ces années ...
"Hollywood" ensuite sonne plus metal par son riff sans jamais perdre le côté très pop et accessible qui caractérise Diorama. Une grosse énergie positive est présente dans ce metal aggressif (non monsieur Lars Ulrich, vous n'êtes pas le premier, cf : l'hilarant documentaire Some Kind Of Monsters).
Enfin "Ramble", chanson pop-rock dans le sillage mélodique de "The Greatest View", excellente donc. Instantanément mémorisable sans être putassier, on peut fredonner toute la journée ce 'Give me something real, something I can feel because the truth feels like a movie!'
Sur ce single les 'Chairs réussissent l'exploit de livrer quatre titres et autant de singles potentiels. Toutes les chansons sont prenantes, catchy et émouvantes à leurs manières. Daniel Johns est vraiment très fort.
PS: Juste une chose Mr Johns, tu veux dire quoi par 'you brighten my life like a polystyrene hat' ?
Le petit Daniel étant à l'époque handicapé par sa drôle de maladie (drôle 'hinhin', pas drôle 'haha'), le groupe se retrouve dans l'impossibilité de donner des concerts. D'où ce gentil lot de consolation : trois titres inédits en b-sides de ce single.
Tout d'abord "Asylum" qui navigue entre clavecin et piano. Ce titre, assez proche de "After All These Years", est une pure merveille de douceur poétique. Quiconque a suivi et aimé Silverchair ne peut qu'être ému par cette déclaration de Johns : il a trouvé son bien être, après toutes ces années ...
"Hollywood" ensuite sonne plus metal par son riff sans jamais perdre le côté très pop et accessible qui caractérise Diorama. Une grosse énergie positive est présente dans ce metal aggressif (non monsieur Lars Ulrich, vous n'êtes pas le premier, cf : l'hilarant documentaire Some Kind Of Monsters).
Enfin "Ramble", chanson pop-rock dans le sillage mélodique de "The Greatest View", excellente donc. Instantanément mémorisable sans être putassier, on peut fredonner toute la journée ce 'Give me something real, something I can feel because the truth feels like a movie!'
Sur ce single les 'Chairs réussissent l'exploit de livrer quatre titres et autant de singles potentiels. Toutes les chansons sont prenantes, catchy et émouvantes à leurs manières. Daniel Johns est vraiment très fort.
PS: Juste une chose Mr Johns, tu veux dire quoi par 'you brighten my life like a polystyrene hat' ?
Parfait 17/20 | par Thinwhitejs |
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