Cabaret Voltaire
The Crackdown |
Label :
Some Bizarre |
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The Crackdown ('resserrement') est le top du duo Richard H.Kirk et Stephen Mallinder. Sur la 1ère face on dénote quelques plages intéressantes par leur mélange électropop, minimalisme et gros sons de basse.
Mais j'ai une préférence pour ce qui suit : "Over and Over", rappelle un bon tube électro cold-wave style Deutsh Amerikanische Freundschaft ... des élans de basse qu'on retrouve aussi chez Charles de Goal.
"Haïti" est un superbe morceau au rythme saccadé par les aigus de fines cordes de guitare et de trompette lointaine. "Crackdown" : patchwork de sons et voix pressante sur quelques boucles de basse et percus évasives puis 2, 3 notes de synthé nu avant le déclic du pick-up qui va m'obliger à me lever de mon siège, changer de vinyle et positionner en 45 tours.
"Diskono" comme "Double Vision" me transportent, je ne trouve plus les mots, les adjectifs et les superlatifs pour décrire ces engouements. Il y a un jeu de va-et-vient sur les deux tracks, le son part et revient ce qui donne l'illusion d'un mouvement, joyeux et optimiste pour "Diskono" et sombre pour "Double Vision".
"Moscow", moment de pureté, à se demander si Einsturzende Neubauten n'en aurait pas été inspirés pour Armenia. Frottements de cordes ou de cloches, cymbales éparses sur une bandes son limite infra.
"Badge of Evil", me laisse encore sans voix... incantations style Virgin Prunes peut-être, une voix d'outre-tombe qu'on pourrait croire qu'elle s'adresse à vous, mais non ! Le Cabaret Voltaire n'est qu'une parfaite illusion ! Qu'on se le dise.
Mais j'ai une préférence pour ce qui suit : "Over and Over", rappelle un bon tube électro cold-wave style Deutsh Amerikanische Freundschaft ... des élans de basse qu'on retrouve aussi chez Charles de Goal.
"Haïti" est un superbe morceau au rythme saccadé par les aigus de fines cordes de guitare et de trompette lointaine. "Crackdown" : patchwork de sons et voix pressante sur quelques boucles de basse et percus évasives puis 2, 3 notes de synthé nu avant le déclic du pick-up qui va m'obliger à me lever de mon siège, changer de vinyle et positionner en 45 tours.
"Diskono" comme "Double Vision" me transportent, je ne trouve plus les mots, les adjectifs et les superlatifs pour décrire ces engouements. Il y a un jeu de va-et-vient sur les deux tracks, le son part et revient ce qui donne l'illusion d'un mouvement, joyeux et optimiste pour "Diskono" et sombre pour "Double Vision".
"Moscow", moment de pureté, à se demander si Einsturzende Neubauten n'en aurait pas été inspirés pour Armenia. Frottements de cordes ou de cloches, cymbales éparses sur une bandes son limite infra.
"Badge of Evil", me laisse encore sans voix... incantations style Virgin Prunes peut-être, une voix d'outre-tombe qu'on pourrait croire qu'elle s'adresse à vous, mais non ! Le Cabaret Voltaire n'est qu'une parfaite illusion ! Qu'on se le dise.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par IsidoreDeVinck |
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