Echo & The Bunnymen
Porcupine |
Label :
Sire |
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Bon j'avoue je ne vais pas être très objectif, même plutôt dithyrambique, mais bon, une fois cela dit, cet album est quand même le must des must... Un fleuron de la new-wave rock des années 80 et surtout un chef-d'oeuvre dans la discographie d'Echo And The Bunnymen.
La pochette glaciale des paysages enneigés d'Islande est trompeuse. Elle ne renferme pas des ambiances "cold" et crépuscupulaires, mais un nouveau souffle brulant et intense !
L'album commence par une chanson phare du groupe (interprétée à chaque concert) single de l'époque, "The Cutter": un hymne ! (à je ne sais pas quoi, mais un hymne, une invocation).
Puis vient le deuxième single "The Back Of Love" tout aussi rythmé que le premier hymne (là cet un hymne à l'amour...) avec des notes de violons à nous marteler l'esprit ! On sort de cette chanson épuisé, à bout de souffle.
"My White Devil" vient nous calmer (l'infarctus n'était pas loin) et nous rappeler ce qu'est la voix de Ian Mc Culloch (en rupture permanente, toujours sur la brèche Ian) : magnifique voix, magnifique chanson.
Vient "Clay" avec sa superbe ligne de basse et une maîtrise de bout en bout (c'est bon , c'est bon !!! ce n'est pas possible que cela va continuer comme cela !).
Et... c'est ..."Porcupine" ! A faire pleurer n'importe quel coeur insensible... LA chanson absolue !!!
Impossible à décrire, uniquement à écouter...No comment...(je pleure !).
Arrive la face B (et oui c'est du 33 Tours et cela craque de tous les côtés à force d'avoir passé le diamant...) et "Heads With Roll" et ses violons d'entrée qui vont marquer toute la chanson accompagnée de la guitare de Will Sergeant (de nouveau le pouls s'est bigrement accéléré).
"Ripeness" enchaîne à coup de martèlement de batterie, et Ian qui continue à chanter divinement bien. Il termine cette chanson en choeur avec lui même et... c'est beau.
"Higher Hell" et son intro. La rythmique est superbe, mais peut-être la chanson la plus faible (ou plutôt la moins forte !) de l'album et se termine en cacaphonie ubuesque.
"Gods Will Be Gods" est magnifique, c'est simple, efficace, avec la basse de Less Pattinson qui vrombit tout le long long. Maîtrise totale de la musique rock.
Finir l'album avec "In Bluer Skies", cela fait mal. Encore une merveille et on voit que ce sont les derniers sillons du disque. Savourons, savourons c'est la fin de l'épopée Porcupine !
En fait ce disque est simplement... intemporel !! (et ça tombe bien cela correspond à la note 20 chez Xsilence).
La pochette glaciale des paysages enneigés d'Islande est trompeuse. Elle ne renferme pas des ambiances "cold" et crépuscupulaires, mais un nouveau souffle brulant et intense !
L'album commence par une chanson phare du groupe (interprétée à chaque concert) single de l'époque, "The Cutter": un hymne ! (à je ne sais pas quoi, mais un hymne, une invocation).
Puis vient le deuxième single "The Back Of Love" tout aussi rythmé que le premier hymne (là cet un hymne à l'amour...) avec des notes de violons à nous marteler l'esprit ! On sort de cette chanson épuisé, à bout de souffle.
"My White Devil" vient nous calmer (l'infarctus n'était pas loin) et nous rappeler ce qu'est la voix de Ian Mc Culloch (en rupture permanente, toujours sur la brèche Ian) : magnifique voix, magnifique chanson.
Vient "Clay" avec sa superbe ligne de basse et une maîtrise de bout en bout (c'est bon , c'est bon !!! ce n'est pas possible que cela va continuer comme cela !).
Et... c'est ..."Porcupine" ! A faire pleurer n'importe quel coeur insensible... LA chanson absolue !!!
Impossible à décrire, uniquement à écouter...No comment...(je pleure !).
Arrive la face B (et oui c'est du 33 Tours et cela craque de tous les côtés à force d'avoir passé le diamant...) et "Heads With Roll" et ses violons d'entrée qui vont marquer toute la chanson accompagnée de la guitare de Will Sergeant (de nouveau le pouls s'est bigrement accéléré).
"Ripeness" enchaîne à coup de martèlement de batterie, et Ian qui continue à chanter divinement bien. Il termine cette chanson en choeur avec lui même et... c'est beau.
"Higher Hell" et son intro. La rythmique est superbe, mais peut-être la chanson la plus faible (ou plutôt la moins forte !) de l'album et se termine en cacaphonie ubuesque.
"Gods Will Be Gods" est magnifique, c'est simple, efficace, avec la basse de Less Pattinson qui vrombit tout le long long. Maîtrise totale de la musique rock.
Finir l'album avec "In Bluer Skies", cela fait mal. Encore une merveille et on voit que ce sont les derniers sillons du disque. Savourons, savourons c'est la fin de l'épopée Porcupine !
En fait ce disque est simplement... intemporel !! (et ça tombe bien cela correspond à la note 20 chez Xsilence).
Intemporel ! ! ! 20/20 | par EtheBunnymen |
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