Pale Saints
Slow Buildings |
Label :
4AD |
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Coup dur pour Pale Saints : Ian Masters parti vers d'autres horizons, on se demandait ce qu'allait devenir une des figures de proue du label 4AD.
Malgré tout, ce troisième et dernier opus est de très haute facture. Bien-sûr, l'absence de ce compositeur/parolier de génie se fait ressentir mais cela n'empêche pas Slow Buildings d'être intéressant et de rester dans le ton d'un shoegazing très accessible.
Toujours finnement racé et vaporeux, le chant de Meriel Barham brille froidement tout du long. Le son est plus lourd et plus électrique, sans pour autant enlever toute majesté aux compositions. Les mélodies prennent l'habitude de se dissoudre dans un brouhara sonore littéralement envoûtant.
Quelques chansons plus acoustiques, rares dans le genre, ajoutent une touche de douceur, presque féminine. Bien souvent les chansons posent un décors aérien avant de se perdre dans un prolongement évasif, qui se réitère et se multiplie à l'infini. Certaines dépassent largement les sept minutes.
Cette démarche paresseuse et contemplative aboutit à la démonstration que le rêve ne s'atteint que lorsqu'on ferme les yeux pendant très longtemps ...
Malgré tout, ce troisième et dernier opus est de très haute facture. Bien-sûr, l'absence de ce compositeur/parolier de génie se fait ressentir mais cela n'empêche pas Slow Buildings d'être intéressant et de rester dans le ton d'un shoegazing très accessible.
Toujours finnement racé et vaporeux, le chant de Meriel Barham brille froidement tout du long. Le son est plus lourd et plus électrique, sans pour autant enlever toute majesté aux compositions. Les mélodies prennent l'habitude de se dissoudre dans un brouhara sonore littéralement envoûtant.
Quelques chansons plus acoustiques, rares dans le genre, ajoutent une touche de douceur, presque féminine. Bien souvent les chansons posent un décors aérien avant de se perdre dans un prolongement évasif, qui se réitère et se multiplie à l'infini. Certaines dépassent largement les sept minutes.
Cette démarche paresseuse et contemplative aboutit à la démonstration que le rêve ne s'atteint que lorsqu'on ferme les yeux pendant très longtemps ...
Sympa 14/20 | par Vic |
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