Coldplay
Paris [Bercy] - mardi 29 novembre 2005 |
Qui sont donc les sex symbols de 2005, pour qui le moindre remuage de paupières est synonyme d'hystérie collective dans les petites cullotes lycéennes ?
Haut la main nous dirons Coldplay, à la vue du Bercy raz-la-gueule et de la ferveur populesque hululante comme pour un concert de Take That. La comparaison n'ira pas plus loin, car contrairement aux playboys susnommés, Colplay a délivré un concert sobre, relativement mélodique, sans verser dans l'insupportable larmoiement surjoué, ou autres poses d'artistes d'habitude ressasés par les Dandy en vogue.
Ici, juste la bonne distance avec le public, savant dosage de charme et de retenu -anglais quoi-, mon a priori négatif se casse la gueule.
Et donc en avant pour les petites précieuses pop, simples et clinquantes, et portées par la voix quand même unique de ce chanteur dont je ne pousserais pas le zèle jusqu'à apprendre le nom. Entre intros semi psychédéliques et passages folks, formatages radio et électricité rageante, le concert présente une palette large, jouée fort sobrement, merci.
Un écran géant derrière la scène, passe par intermittence des images du groupe et des montages d'ambiance, mais ici encore, pas d'abus.
Leurs tubes multidiffusés passent, s'enchaînent avec des titres que je ne connais pas, néophyte que je suis, et de mon point de vue c'est agréable. Ils font le maximum pour rendre humain un show destiné à de grandes salles, mais on sent la grosse machine dans les enchaînements millimétrés.
Reste de mon point de vue, un passage folk tout-à-fait réussi où les membres regroupé au milieu de la scène, le volume a baissé l'espace de quelques minimalistes titres, très bons, et aussi "The Scientist", très belle chanson. Pour le reste, Bercy a tout de même la pire accoustique de la planète.
Bonne surprise donc que Coldplay sur scène. Reste qu'ils ne sont jamais aussi forts qu'en accoustique, ou leur musique dépouillée prend une tout autre dimension.
Haut la main nous dirons Coldplay, à la vue du Bercy raz-la-gueule et de la ferveur populesque hululante comme pour un concert de Take That. La comparaison n'ira pas plus loin, car contrairement aux playboys susnommés, Colplay a délivré un concert sobre, relativement mélodique, sans verser dans l'insupportable larmoiement surjoué, ou autres poses d'artistes d'habitude ressasés par les Dandy en vogue.
Ici, juste la bonne distance avec le public, savant dosage de charme et de retenu -anglais quoi-, mon a priori négatif se casse la gueule.
Et donc en avant pour les petites précieuses pop, simples et clinquantes, et portées par la voix quand même unique de ce chanteur dont je ne pousserais pas le zèle jusqu'à apprendre le nom. Entre intros semi psychédéliques et passages folks, formatages radio et électricité rageante, le concert présente une palette large, jouée fort sobrement, merci.
Un écran géant derrière la scène, passe par intermittence des images du groupe et des montages d'ambiance, mais ici encore, pas d'abus.
Leurs tubes multidiffusés passent, s'enchaînent avec des titres que je ne connais pas, néophyte que je suis, et de mon point de vue c'est agréable. Ils font le maximum pour rendre humain un show destiné à de grandes salles, mais on sent la grosse machine dans les enchaînements millimétrés.
Reste de mon point de vue, un passage folk tout-à-fait réussi où les membres regroupé au milieu de la scène, le volume a baissé l'espace de quelques minimalistes titres, très bons, et aussi "The Scientist", très belle chanson. Pour le reste, Bercy a tout de même la pire accoustique de la planète.
Bonne surprise donc que Coldplay sur scène. Reste qu'ils ne sont jamais aussi forts qu'en accoustique, ou leur musique dépouillée prend une tout autre dimension.
Pas mal 13/20 | par Spasme |
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